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Description
Elle pleure juste d'inconscience.
La cruauté humaine est devenue sa prison.
Son corps insulte votre horreur, insulte la bassesse de vos dires. Elle a été la cible trop longtemps. Cette fois, elle n'est pas moi. Elle est l'autre. Inutile de parler en énigme.
Vous, basiques personnages, incapables de sortir de cette haute estime de vous-mêmes, qui est totalement infondée, soit dit en passant, car il me semble que des gens de votre supposé rang ne s'abaisseraient pas à parler de cette façon, je disais donc,
Vous, méprisants même Zaïre, profitez de la beauté de notre langue pour cracher votre venin.

x

Mon pays est celui des droits de l'Homme, celui du respect de tous, du moins il est connu pour cela. Il est le vôtre également et la plus petite de vos actions pourtant renie ces valeurs, alors que vous vous prétendez plus français que nous. Si c'est cela l'élite, mes chers, permettez-moi de vous inviter aux latrines.
Vous sentez-vous visés, Architectes de l'insulte à l'Homme ?
Dans ce cas, je citerais volontiers Molière: << qui se sent morveux, qu'il se mouche! >> .
Vous êtes aussi vides au fond que vous êtes vaniteux, et ce n'est pas le fait d'avoir vieilli qui vous a rendus meilleurs .
Sans cesse à l'affût d'un nouveau morceau, comme si vos bouchers étaient devenus trop chers. La chasse se fait dans la rue à présent. La chasse à l'étranger, la traque à la différence.

x

A croire que vous vous occupiez mieux lorsqu'on avait installé la guillotine sur la place publique.
Je sais bien que Victor Hugo m'assassinerait du regard s'il lisait cela mais vu le respect que vous portez à sa langue, puisque vous en usez pour injurier votre prochain, permettez-moi, descendants impurs de Rousseau, renégats de la Littérature et de la splendeur humaine, abjections du Seigneur, de vous dire que jamais vous ne serez pardonnés, car vous savez parfaitement ce que vous faîtes.

x

N.B: ce texte n'est pas en réponse à une attaque m'étant directement adressée, mais l'entaille est faite dans la chair. Ceci est mon sang. Il coule entre les mains de ce qui pardonnera vos crimes et se déverse sur vous. Ab nihilo..

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Elle pleure juste d'inconscience.
La cruauté humaine est devenue sa prison.
Son corps insulte votre horreur, insulte la bassesse de vos dires. Elle a été la cible trop longtemps. Cette fois, elle n'est pas moi. Elle est l'autre. Inutile de parler en énigme.
Vous, basiques personnages, incapables de sortir de cette haute estime de vous-mêmes, qui est totalement infondée, soit dit en passant, car il me semble que des gens de votre supposé rang ne s'abaisseraient pas à parler de cette façon, je disais donc,
Vous, méprisants même Zaïre, profitez de la beauté de notre langue pour cracher votre venin.

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Mon pays est celui des droits de l'Homme, celui du respect de tous, du moins il est connu pour cela. Il est le vôtre également et la plus petite de vos actions pourtant renie ces valeurs, alors que vous vous prétendez plus français que nous. Si c'est cela l'élite, mes chers, permettez-moi de vous inviter aux latrines.
Vous sentez-vous visés, Architectes de l'insulte à l'Homme ?
Dans ce cas, je citerais volontiers Molière: << qui se sent morveux, qu'il se mouche! >> .
Vous êtes aussi vides au fond que vous êtes vaniteux, et ce n'est pas le fait d'avoir vieilli qui vous a rendus meilleurs .
Sans cesse à l'affût d'un nouveau morceau, comme si vos bouchers étaient devenus trop chers. La chasse se fait dans la rue à présent. La chasse à l'étranger, la traque à la différence.

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A croire que vous vous occupiez mieux lorsqu'on avait installé la guillotine sur la place publique.
Je sais bien que Victor Hugo m'assassinerait du regard s'il lisait cela mais vu le respect que vous portez à sa langue, puisque vous en usez pour injurier votre prochain, permettez-moi, descendants impurs de Rousseau, renégats de la Littérature et de la splendeur humaine, abjections du Seigneur, de vous dire que jamais vous ne serez pardonnés, car vous savez parfaitement ce que vous faîtes.

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N.B: ce texte n'est pas en réponse à une attaque m'étant directement adressée, mais l'entaille est faite dans la chair. Ceci est mon sang. Il coule entre les mains de ce qui pardonnera vos crimes et se déverse sur vous. Ab nihilo..