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Description
J’étais dans le salon salon ce jour là. Ma douce et adorée Appy se tenant à mes côté sur notre divan. Il ne me fallut pas longtemps pour l’embrasser et cela n’avait rien avoir avec le verre de vin rouge sang que nous avions bue. Portant une robe fine et presque transparente bleu je faisais contraste avec la robe rouge de ma merveilleuse amie. Alors que toute mon attention était porter sur elle, il me fallut quelques instants pour le remarquer. Enfin il nous avait rejoint, Max.
Lui ayant ordonné de passé son après midi à cuisiner pour nous et cela complètement nu, ayant pour seul vêtement un tablier, il avait accepté. Que pouvait-il faire d’autre après tout?
Allongeant mes pieds nues sur la table basse, je m’assis droite alors. Interrompant le baiser, Appy suivant ma conduite. En la regardant je vis l’ai condescendant avec lequel elle observait Max.
“Eh bien Alors... déshabille toi esclave! Les soumis ne mérite pas de porter des vêtements. En suite ne perd pas de temps, mes pieds t’on assez attendu!” S’exclama t’elle.
Il ne lui fallut pas longtemps pour se mettre à nue, il se mit alors à lui masser les pieds, doucement et avec précautions.
Maintes fois, elle lui avait fait savoir qu’elle voulait qu’il commence par un massage avant d’aller plus loins.
Appy se relaxant et reposant sa tête en arrière sur le divan. Ma vision parcours son corps des pieds à la tête. Ses cheveux aussi noir que la nuit, son cou si fin ornée d’un collier encore plus fin et d’or. Alors que ma vision ne cessait de descendre. Je vis plus d’ornement sur ses poignets ou encore ses chevilles. Des petites chaînes d’or. Il ne me fallut pas longtemps pour poser mon regard sur Max, du coin de l’œil il me vis et je lui fit alors mon plus diabolique sourire.
Étant plus cruel que Appy, j’adorais le faire morfler plus qu’elle ne le ferait jamais... s’il restait obéissant tout du moins.
Alors la voie satisfaite de Appy se dit entendre.
“Bien esclave~ pas besoins d’utiliser ta langues sur mes pieds divins cette fois, Julie t’attend depuis déjà longtemps elle aussi.”
À cette affirmation je ne pus m’empêcher de rire et quand Max se présentât devant mes pieds merveilleux pour les masse je ne pus m’empêcher de lui repousser la tête avec la paume de mon pied sur son front de façon on ne put plus gracieuse.
“Nan mais tu crois quoi? À chaque maîtresse ses attente, c’est à toi de t’adapter! Alors si tu ne sais pas quoi faire tu me le demande poliment. Oh! N’oublie pas de dire merci~”
Appy qui alors se servait un autre verre ne put s’empêcher de glousser de façon adorable.
Max quand à lui, parla d’une voie fébrile, enfantine presque. “P-Pardonner moi maîtresse Julie. En quoi puis-je vous être agréable en cet instant. Merci de répondre à ma question avec sincérité car votre bonheur, à vous et Appy, seul m’emplit de joie.”
Il me décevait! Pas une seule petite raison de m’emporter et de le fouetté... Avais-t’il compris mes dessins? Savais-t’il que j’attendais un faux pas? Peu importe ils en font tous.
C’est ainsi que je lui répondît: “Mon très cher esclave. Ta maîtresse serait enchanté de te faire l’honneur de frotter ta langue disgracieuse contre mes pieds au combien merveilleux. Au delà du divin~”
Il faut avouer que j’en faisais des caisses. En effet, mes pieds (particulièrement aujourd’hui) était recouvert d’une saleté prononcée. Néanmoins dans l’instant il se mit à lécher. Le regardant tout du long, moi et Appy. La vision de sa langue virant au noir ne put que nous apporter un sourire sincère.
Sa dévotion après tout n’était pas désagréable. Bien que je ne put savoir à quoi Appy pensais à cet instant, j’avais décidé que cette fois, enfin, il méritait une récompense!
“Un travail si remarquable~”, nota Appy. “Il serait dommage que je n’en profite pas. Alors finalement Julie je vais te l’emprunter. Après tout n’est-il pas normal que mes pieds soit aussi resplendissant que les tiens?”
Un sourire enjolivé sur mon visage, au bort d’un rire très bien caché je ne pus m’empêcher de parler avec une once d’ironie.
“Ma divine amie, Appy. Évidemment je le partage volontiers. Avec une langue aussi sale, vos pied en un instant, seront dans l’instant aussi resplendissant que les miens, je peux te l’assuré!”
Et alors que Max changeais de tache elle se mit à me tirer la langue. L’instant d’après, une couleur rougeâtre couvrant ses douces joues alors qu’elle cachait moins bien que moi son visible amusement. Et alors que Max s’efforçait de plaire ses maîtresses je ne pus m’empêcher de remarquer quelque chose de lever sous la table basse. Un membre de bonne taille~
“Oh la~ mais ce pourrait-il que notre esclave prenne encore plus de plaisir que nous? Nous ne pouvons avoir cela, une punition s’impose ma chère.”
Et alors que je vit elle regard désapprobateur de Appy, elle vit clairement que la ‘punition’ n’en était pas une. Le comprenant elle me sourit et répondis.
“Il est vrais qu’un esclave aussi pitoyablement contrôlé par ses pulsions ne nous mérite pas. Lui rendrions nous ce service que de le débarrasser de cet érection grandissante?”
À ce mot, Max s’arrêta de lécher. Nous regardant avec un visage rouge tomate, avec un regard apeuré et excité. Me levant la première, mon regard indiquait à Appy de se lever aussi et c’est ce qu’elle fit.
“Sur ton dos! Écarte les jambes~” Ordonna t’elle alors. Lui obéissant Max s’allongea et elle en fit de même. Ses pieds venant se frotter contre l’erection de notre esclave.
“Il ne le mérite pas...” me disais-je, cependant c’était peut-être juste de la jalousie inutile. Alors que Appy s’était mise à lui faire plaisir, sa tête reposer et visiblement apaisée ne me donna qu’une envie, lui marcher dessus. Et c’est ce que je fît!
En un instant il ouvris les yeux quand mon pied droit atterri sur sa tête. Mon expression de jalousie visible bien qu’il soit dur de deviner que c’en était.
“Alors? Tu ne fini pas ton boulot? Appy nous a couper j’imagine que tu ne verra pas de mal à le finir maintenant n’est-ce pas?~”
Avec un sourire plus que narquois, j’attendais une once de tristesse sur son visage. Cependant ce ne fut le cas... j’aurais dû me douter qu’un esclave n’en serait que plus heureux!
Prenant un aire déçu, croissant mes bras, Appy compris et gloussa une seconde fois de la soirée avant de donne toute son attention à sa tâche, ses pieds huiler de salives couvrant le sex du jeune homme qui me tenant et léchant le pied s’était mis à faire des bruits de plaisirs très prononcé, des bruit qui me donnèrent envie de le rétrécir... si Appy n’était pas là.
Le spectacle même pour moi était des plus excitant. Il ne lui fallut pas longtemps d’ailleurs pour l’amener au bord de l’orgasme. Ne pouvant plus me lécher le pied à cause du plaisir je le retirait alors de sa tête pour m’asseoir, buvant un second verre, remarquant seulement maintenant que Appy avait eut le temps de finir le siens à un moment. Un instant plus tard dans un cris de plaisir Max se tordis et jouis, se couvrant le ventre et les pieds de sa maîtresse.
“Hmmm tu sais que je n’aime pas quand tu me salis... tu a fait un remarquable boulot ce soir, si le repas est plaisant tu t’en tire à bon compte, nettoie mes pieds maintenant.”
Et ainsi, Max pu lécher les pieds de sa maîtresse une dernière fois profitant pleinement de son orgasme pour nettoyer l’immondice qu’il avait engendré. La minute suivante, déjà remettrai il sont tablier ayant interdiction de se nettoyer avant de nous avoir servi le repas. Il repartirait nous faire réchauffer les plats exquis qu’il avais passer une journée à faire. Et vous savez quoi? On l’a quand même puni~

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J’étais dans le salon salon ce jour là. Ma douce et adorée Appy se tenant à mes côté sur notre divan. Il ne me fallut pas longtemps pour l’embrasser et cela n’avait rien avoir avec le verre de vin rouge sang que nous avions bue. Portant une robe fine et presque transparente bleu je faisais contraste avec la robe rouge de ma merveilleuse amie. Alors que toute mon attention était porter sur elle, il me fallut quelques instants pour le remarquer. Enfin il nous avait rejoint, Max.
Lui ayant ordonné de passé son après midi à cuisiner pour nous et cela complètement nu, ayant pour seul vêtement un tablier, il avait accepté. Que pouvait-il faire d’autre après tout?
Allongeant mes pieds nues sur la table basse, je m’assis droite alors. Interrompant le baiser, Appy suivant ma conduite. En la regardant je vis l’ai condescendant avec lequel elle observait Max.
“Eh bien Alors... déshabille toi esclave! Les soumis ne mérite pas de porter des vêtements. En suite ne perd pas de temps, mes pieds t’on assez attendu!” S’exclama t’elle.
Il ne lui fallut pas longtemps pour se mettre à nue, il se mit alors à lui masser les pieds, doucement et avec précautions.
Maintes fois, elle lui avait fait savoir qu’elle voulait qu’il commence par un massage avant d’aller plus loins.
Appy se relaxant et reposant sa tête en arrière sur le divan. Ma vision parcours son corps des pieds à la tête. Ses cheveux aussi noir que la nuit, son cou si fin ornée d’un collier encore plus fin et d’or. Alors que ma vision ne cessait de descendre. Je vis plus d’ornement sur ses poignets ou encore ses chevilles. Des petites chaînes d’or. Il ne me fallut pas longtemps pour poser mon regard sur Max, du coin de l’œil il me vis et je lui fit alors mon plus diabolique sourire.
Étant plus cruel que Appy, j’adorais le faire morfler plus qu’elle ne le ferait jamais... s’il restait obéissant tout du moins.
Alors la voie satisfaite de Appy se dit entendre.
“Bien esclave~ pas besoins d’utiliser ta langues sur mes pieds divins cette fois, Julie t’attend depuis déjà longtemps elle aussi.”
À cette affirmation je ne pus m’empêcher de rire et quand Max se présentât devant mes pieds merveilleux pour les masse je ne pus m’empêcher de lui repousser la tête avec la paume de mon pied sur son front de façon on ne put plus gracieuse.
“Nan mais tu crois quoi? À chaque maîtresse ses attente, c’est à toi de t’adapter! Alors si tu ne sais pas quoi faire tu me le demande poliment. Oh! N’oublie pas de dire merci~”
Appy qui alors se servait un autre verre ne put s’empêcher de glousser de façon adorable.
Max quand à lui, parla d’une voie fébrile, enfantine presque. “P-Pardonner moi maîtresse Julie. En quoi puis-je vous être agréable en cet instant. Merci de répondre à ma question avec sincérité car votre bonheur, à vous et Appy, seul m’emplit de joie.”
Il me décevait! Pas une seule petite raison de m’emporter et de le fouetté... Avais-t’il compris mes dessins? Savais-t’il que j’attendais un faux pas? Peu importe ils en font tous.
C’est ainsi que je lui répondît: “Mon très cher esclave. Ta maîtresse serait enchanté de te faire l’honneur de frotter ta langue disgracieuse contre mes pieds au combien merveilleux. Au delà du divin~”
Il faut avouer que j’en faisais des caisses. En effet, mes pieds (particulièrement aujourd’hui) était recouvert d’une saleté prononcée. Néanmoins dans l’instant il se mit à lécher. Le regardant tout du long, moi et Appy. La vision de sa langue virant au noir ne put que nous apporter un sourire sincère.
Sa dévotion après tout n’était pas désagréable. Bien que je ne put savoir à quoi Appy pensais à cet instant, j’avais décidé que cette fois, enfin, il méritait une récompense!
“Un travail si remarquable~”, nota Appy. “Il serait dommage que je n’en profite pas. Alors finalement Julie je vais te l’emprunter. Après tout n’est-il pas normal que mes pieds soit aussi resplendissant que les tiens?”
Un sourire enjolivé sur mon visage, au bort d’un rire très bien caché je ne pus m’empêcher de parler avec une once d’ironie.
“Ma divine amie, Appy. Évidemment je le partage volontiers. Avec une langue aussi sale, vos pied en un instant, seront dans l’instant aussi resplendissant que les miens, je peux te l’assuré!”
Et alors que Max changeais de tache elle se mit à me tirer la langue. L’instant d’après, une couleur rougeâtre couvrant ses douces joues alors qu’elle cachait moins bien que moi son visible amusement. Et alors que Max s’efforçait de plaire ses maîtresses je ne pus m’empêcher de remarquer quelque chose de lever sous la table basse. Un membre de bonne taille~
“Oh la~ mais ce pourrait-il que notre esclave prenne encore plus de plaisir que nous? Nous ne pouvons avoir cela, une punition s’impose ma chère.”
Et alors que je vit elle regard désapprobateur de Appy, elle vit clairement que la ‘punition’ n’en était pas une. Le comprenant elle me sourit et répondis.
“Il est vrais qu’un esclave aussi pitoyablement contrôlé par ses pulsions ne nous mérite pas. Lui rendrions nous ce service que de le débarrasser de cet érection grandissante?”
À ce mot, Max s’arrêta de lécher. Nous regardant avec un visage rouge tomate, avec un regard apeuré et excité. Me levant la première, mon regard indiquait à Appy de se lever aussi et c’est ce qu’elle fit.
“Sur ton dos! Écarte les jambes~” Ordonna t’elle alors. Lui obéissant Max s’allongea et elle en fit de même. Ses pieds venant se frotter contre l’erection de notre esclave.
“Il ne le mérite pas...” me disais-je, cependant c’était peut-être juste de la jalousie inutile. Alors que Appy s’était mise à lui faire plaisir, sa tête reposer et visiblement apaisée ne me donna qu’une envie, lui marcher dessus. Et c’est ce que je fît!
En un instant il ouvris les yeux quand mon pied droit atterri sur sa tête. Mon expression de jalousie visible bien qu’il soit dur de deviner que c’en était.
“Alors? Tu ne fini pas ton boulot? Appy nous a couper j’imagine que tu ne verra pas de mal à le finir maintenant n’est-ce pas?~”
Avec un sourire plus que narquois, j’attendais une once de tristesse sur son visage. Cependant ce ne fut le cas... j’aurais dû me douter qu’un esclave n’en serait que plus heureux!
Prenant un aire déçu, croissant mes bras, Appy compris et gloussa une seconde fois de la soirée avant de donne toute son attention à sa tâche, ses pieds huiler de salives couvrant le sex du jeune homme qui me tenant et léchant le pied s’était mis à faire des bruits de plaisirs très prononcé, des bruit qui me donnèrent envie de le rétrécir... si Appy n’était pas là.
Le spectacle même pour moi était des plus excitant. Il ne lui fallut pas longtemps d’ailleurs pour l’amener au bord de l’orgasme. Ne pouvant plus me lécher le pied à cause du plaisir je le retirait alors de sa tête pour m’asseoir, buvant un second verre, remarquant seulement maintenant que Appy avait eut le temps de finir le siens à un moment. Un instant plus tard dans un cris de plaisir Max se tordis et jouis, se couvrant le ventre et les pieds de sa maîtresse.
“Hmmm tu sais que je n’aime pas quand tu me salis... tu a fait un remarquable boulot ce soir, si le repas est plaisant tu t’en tire à bon compte, nettoie mes pieds maintenant.”
Et ainsi, Max pu lécher les pieds de sa maîtresse une dernière fois profitant pleinement de son orgasme pour nettoyer l’immondice qu’il avait engendré. La minute suivante, déjà remettrai il sont tablier ayant interdiction de se nettoyer avant de nous avoir servi le repas. Il repartirait nous faire réchauffer les plats exquis qu’il avais passer une journée à faire. Et vous savez quoi? On l’a quand même puni~

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