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loukia222 — [Nergens] Eleanor Avery ???

Published: 2014-04-04 15:23:17 +0000 UTC; Views: 482; Favourites: 3; Downloads: 5
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Description Voila ma participation en retard pour le groupe de rp francophone Nergens.  Ce personnage est un défi pour moi car je n'ai jamais fait de personnage aussi maigre et élancé ! Et je ne fait pas souvent des personne qui sont des gamines chieuse !



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Nom: Avery


Prénom: Eleanor (Ely)


Age : 17 ans


Taille: 1m75


Poids: 52 kg


Sexe: Fille


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Caractère:


C'est une peste arrogante et narcissique. Elle aime se sentir supérieure car elle l'était dans sa vie. Cependant, elle sait quand quelqu'un lui est supérieur et évite de les défier, mais sans devenir une lèche-botte. Elle fait ce qu'on lui demande pas plus ! Elle aime être servit et être au centre des attentions, bref une vrai petite princesse pourrit gâtée. Elle ne donne pas facilement sa confiance et aime plutôt écraser les autres que lier de vrai relations. Mais ça ne l'empêche pas d'être amical lorsque cela lui est utile. C'est une véritable hypocrite et aime manipulé son petit monde et serait prête à tout pour que l'ont cède à l'un de ses caprices. Car oui c'est une gamine. Elle peut avoir des réactions très puériles. Cependant, si on arrive à la sortir de sa carapace de mensonges et de supériorité, elle peut vraiment s'attacher. Mais il faut que cette personne l'impression, qu'elle l'admire. Néanmoins, il ne faut pas croire qu'elle évite les gens, elle adore avoir de la compagnie même si celle si n'est là que par intérêt. Tant que vous la sortez un peu de son ennui... Elle est d'ailleurs très tactile avec les personnes plus âgées (c'est à dire beaucoup de monde car dans sa tête elle a encore 12/13 ans), surtout quand ils ne veulent pas qu'elle leur saute au cou ! Elle adore taper sur les nerfs des autres. La seule créature qu'elle apprécie sont les chats : indépendant, sans obligations et malin. Malheureusement, ces parents n'ont jamais voulu qu'elle en ai un. Mais sa nourrice qui était la personne la plus chère à son cœur lui en a fait un en peluche pour ses douze ans.


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Ce qu'elle aime :



- être le centre d'attention

- se sentir supérieure

- rabaisser les autres

- qu'on lui obéisse

- les objets qui brillent ou qui sont luxueux

- les sucreries (surtout les grosses sucettes plates)

- les chats

- sa nourrice

- le rouge

- ses cheveux

- sa peluche ( Gladice )

- le piano et le violon


Ce qu'elle n'aime pas :



- qu'on la prenne de haut

- qu'on la rabaisse, l'humilie

- que l'on lui fasse remarquer sa maigreur

- l'autorité

- ses parents

- les personnes qu'elle juge inférieure

- qu'on la manipule

- être seule

- son oncle

- les maths

- la peinture (ça salit)


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Histoire:



Eleanor est née d'une famille noble anglaise à la fin du XIXeme siècle. Elle a eu une éducation modèle : des professeurs privés pour toutes les matières que se soit scientifique, littéraire, musical ou artistique ... Elle est donc très cultivée et bien éduquée. Malheureusement ce n'est pas aussi brillant au niveau moral. Ces parents étaient bien trop occupés pour s'occuper de leur fille unique, il l'ont donc confié à une nourrice. L'amour parentale lui est donc inconnu et elle ne les a jamais vraiment aimé. Les seules moments où ils lui ont adressé la parole, c'était pour des sermons envers elle ou sa nourrice ( ce qu'elle détestait par dessous tout ). Sa nourrice était d'une classe sociale inférieure et donc en nobles qui se respectent, ils regardaient comme si il s'agissait d'une misérable choses méprisable. Et le jeune fille comprit vite qu'elle devrait faire de même avec elle , du moins en façade.


Elle rentra donc dans le cadre désiré par ses parents, elle savait vivre en société, connaissait les personnes « dignes » et les « indignes ». Elle faisait tout comme il faut afin de ne pas faire de vague. Il n'y avait pas de raison de faire autrement : elle avait tous ce qu'elle désirait et même si ses parents était strict, elle avait la compagnie de sa nourrice pour lui remonter le morale.


Mais il y avait des problèmes avec les filles de son âge. La plupart avaient des parents qui prenaient soin d'elles. Elles étaient moins riche et Eleanor pouvait avoir ce qu'elle voulait. Sauf une chose que les autres avaient : l'affection de ses parents. Le jour de ses douze ans, une fête fut organisé dans le manoir familial. Il y avait toutes ses « amies ». Bien sûr, elle eut plein de cadeaux : des bijoux, des soieries … Seulement des choses qu'elle avait déjà, des bredouilles. Mais elle sourit et fit semblant d'être touchée. Puis une fillette commença à parler de ses vacances, de la balade à cheval qu'elle avait fait avec son père, des thé pris avec sa mère de leurs lectures l'après-midi … Elle n'eut pas le temps de finir. Eleanor lui avait bondit dessus et commença à la frapper, la morder, elle voulait qu'elle se taise, qu'elle arrête de se vanter de ce que elle désirait tant ! Tout le monde fut sous le choque. Il fallu deux hommes pour séparer les deux filles. Ils enfermèrent dans un pièce et demandèrent que l'on prévienne les parents absent ce jour là.


Elle fut sévèrement punit. Enfermé dans sa chambre pendant plusieurs jour, avec un major d’homme qui lui portait un repas par jour. A la fin de son emprisonnement, sa nourrice vint la voir. En la voyant, elle se mit à pleurer et lui sauta dans les bras. Celle qu'elle considérait comme sa mère lui avait apporter quelque chose. Un chat en peluche. Il était fait à la main et avec ce qu'elle avait trouvé mais la fille n'y prêta pas attention. Il était parfait, c'était le plus beau cadeau qu'on avait put lui faire. Elle décida se jour que la seule personne qui méritait son réel intérêt était bel et bien sa nourrice et personne d'autres. Elle joua alors double jeu. Elle était redevenu la petite fille parfaite aux yeux de tous. Elle s'excusa auprès de l'autre fille, consulta régulièrement un médecin et suivi les ordres de ses parents. Mais au fond d'elle, elle les maudissait tous. Seul sa nourrice savait vraiment ce qu'elle pensait et elle la consolait.


Quelques mois plus tard, sa mère tomba sur la peluche ( nommée Gladice) offerte à Eleanor. Elle fut furieuse et traîna la peluche (et sa fille) jusqu'à sa nourrice. Jamais la mère ne s'énerva comme cela, elle arracha un œil au chat, jeta la peluche sur la pauvre femme, la traita de tout les noms, lui cria dessus, l’humilia … La jeune fille assista à tout la scène, incapable de bouger devant la haine de sa mère. Mais celle-ci leva la main prête à frapper et ce fut la goutte d'eau. Elle s'interposa entre les deux femme, saisissant le poignet de sa mère, elle plongea des yeux glacés et sans émotions dans ceux enragés de sa mère. Celle-ci se stoppa net, effrayé par sa fille. Elle s'échappa de son emprise et lui ordonna de quitter la pièce. Elle donna 2 heures à la nourrice pour faire ses bagages. La mère resta seule inquiète dans la pièce pendant que les deux autres partaient.

A ce moment là, elle pensait que le pire était arrivé. Elle fonça dans la chambre qu'occupait sa nourrice et ferma la porte derrière elle pour que personne ne puisse rentrer. Elle ne voulait la laisser passé pour rien au monde. Il y eut coup à la porte. Mais elle n'ouvrit pas. Il fallut du temps pour qu'elle se laisse convaincre par sa nourrice d'ouvrir la porte. Elle se décala juste assez pour qu'elle passe et s'effondra sur le sol en larme. Elle n'avait plus se regard glacé. Elle pleurait et pleurait, de tristesse, de rage, de dégoût … La nourrice lui dit que son oncle était arrivé, qu'elle ferrait mieux d'aller le voir pendant qu'elle s'occupait de tout. Elle irait la voir ...avant de partir. Mais la fille refusa.

Elle n'aimait pas son oncle. Il l'avait toujours regardé avec froideur, comme une indésirable. Il se donnait néanmoins la peine de la caché à son grand frère. Elle n'avait aucune envie d'aller voir cette aigrie avare ! Il avait louper sa vie de toute manière, elle n'avait rien à faire avec lui ! Mais la nourrice insista et ouvrit la porte pour l’inciter à y aller.

Mais il y eut un bruit en bas, suivit d'un son sourd, comme une grande masse qui tombait au sol. La nourrice eut le reflex de fermer la porte et de prendre Eleanor dans ses bras. Mais déjà des pas approchait. Sous la porte, il y avait une ombre. La nourrice recula jusqu'à la fenêtre. La personne derrière la porte essayait d'ouvrir la porte et parvint avec un grand coup de pied a faire sauter le cadenas. Eleanor découvrit avec horreur qu'il s'agissait de son oncle. Celui-ci avait un poignard et était recouvert de sang. Les deux femmes comprirent qu'il s'était occupé des parents. Il enviait leur fortune depuis tellement longtemps. C'était bien fait pour eux, ils ne maqueraient pas à leur fille. Cependant, elle était un témoin gênant en plus d'être l'héritière de la fortune. Elle devait donc y passer pour qu'il obtienne la fortune. Il s'avança donc, l'arme pointée vers elles. Mais la nourrice fit barrage avec son corps. La jeune fille voulut l'écarter, il en avait après elle, une domestique ne l'intéressait pas. C'était la seule personne qu'elle ne voulait pas voir mourir ! Mais il était trop tard. La lame venait de se planter dans l'abdomen de la femme. Elle s'effondra sur les genoux face au meurtrier qui explosa d'un rire glaçant. Eleanor allait tuer cet homme. Elle prit le chandelier de la table de nuit. Elle avait à nouveau le regard que sa mère avait subit quelques instants avant sa mort. Elle commença à s'avancer vers lui, l'arme à la main, ne cillant pas devant son regard meurtrier. Mais elle sentit une main se poser sur sa poitrine et la poussé vers l'arrière. C'était sa nourrice. Dans un dernier souffle de vie, elle poussa sa protégée par la fenêtre en espérant qu'elle ne meurt pas de la chute. La fille brisa le verre mais avant de touché le sol, elle eut le temps d'entendre son oncle hurler de rage, de voir la lame à travers la gorge de celle qu'elle aimait et de percevoir les plaintive sirène de la police au loin. Puis ce fut le noir.


Mais elle n'était pas morte. L'oncle, effrayé par l'arrivé de la police, avait lancé le poignard par la fenêtre et avait fui. La police retrouva les corps de la famille et de plusieurs domestiques avant de trouvé enfin Eleanor, au bord de la mort, allongé sur le buisson qui avait amorti sa chute. Elle fut transféré en urgence à l’hôpital mais elle ne se réveilla pas. Et le mystère resta entier. La police avait retrouvé le poignard à côté d'elle mais il n'était pas sûr que c'était elle qui était à l'origine du massacre. Cependant aucun suspect n'avait été trouvé. L'oncle avait prévus son coup et avait payé pour avoir un alibi. L'affaire fut donc classer en attendant le réveille ou la mort de l'héritière.


Et ce réveil eut lieu quatre ans plus tard. Après quatre long année dans un sommeil qui n'en était pas vraiment un. Car si Eleanor avait décidé de ne pas rouvrir les yeux, un autre partie d'elle avait décidé de ne pas resté passif. Pendant quatre ans, elle resta aux aguets, écoutant ce qu'il se passait autours de la jeune fille que tout le monde pensait totalement endormi. Elle apprit que son oncle s'en était tiré et que la police attendait son témoignage, qu'on la pensait potentiellement coupable, vu qu'elle avait déjà fait preuve de réactions violentes, que pour le moment c'était son oncle qui profitait de la fortune familiale. Cette partie d'elle prépara donc sa vengeance et parvint à convaincre Eleanor de se réveiller et de passer a l'acte. Et cela prit quatre année.


Il y eut beaucoup d’infirmière qui s'agitèrent, des policiers en masse, des « proches » venu célébré le réveil. Mais malgré toutes les questions qu'on lui posait, elle ne répondit pas. Elle finit par demander ce qui s'était passé, ce qu'elle faisait là, ce faisant passé pour amnésique.Cela surprit tout le monde, ils s'attendait tellement tous à des révélations. Ils furent déçu. Eleanor fut placé dans une maison de rééducation afin de lui rendre la mémoire et aussi le contrôle de son corps qui avait étonnamment grandit pendant son sommeil. Elle se retouva avec un corps chétif, à peine capable de tenir debout et maigre comme un clou. Elle détestait cette faiblesse. Elle resta un an dans cette hôpital, se battant corps et âme pour retrouver un semblant de force afin de mettre son plan à exécution. Elle ne dit à personne que les souvenirs de cette nuit étaient gravés au fer rouge dans son esprit.


Le jour de son dix-septième anniversaire, elle fut autorisé à quitter l’hôpital et a rentré chez elle. Et elle savait qui elle allait retrouvé : son oncle. Étant sa seule famille encore vivante, il était son tuteur. Croyant à l'amnésie, il jugea préférable de ne pas éliminer sa filleule, c'était trop risqué. Il s'en occupa donc. Il trouverait un autre moyen de mettre fin à ses jours. Cela répugnait Eleanor et l'autre. Mais elles savaient qu'il fallait jouer cette comédie jusqu'au moment opportun. Et ce jour vint. Son oncle avait congédié tout les domestiques afin de réglé tranquillement une affaire importante. Elle en profita donc pour briser un miroir et pris un morceau tranchant assez gros qu 'elle cacha sous sa robe. Eleanor n'était pas assez forte se résoudre à tuer mais celle qui avait tendu l'oreille pendant quatre ans, avait écouté toutes les aberrations dit à côté d'elle, qui avait entendu la vie de rêve qu'avait mener l'oncle pendant tout ce temps alors qu'il avait tuer la seule personne chère au cœur d'Eleanor, elle était plus que prête à tuer. Elle prit donc le dessus, évitant encore une fois a Eleanor de souffrit comme elle l'avait déjà fait par le passé. C'était elle qui avait frapper la fillette, elle qui avait stoppé sa mère et ça allait être elle qui allait commettre le crime. Eleanor n'avait pas prit conscience de l’existence de sa moitié mais ce n'était pas un problème, son seul désir était de la protéger et de l'évité de souffrir, même si elle devait faire la basse besogne pour ça.


Elle se dirigea donc vers le bureau de son oncle. Celui-ci se retourna, surpris, puis demanda gentiment à la jeune fille se qu'elle faisait la. Mais il s'arrêta net quand il croisa son regard : vide, glacé, sans émotion excepter de la haine. Il comprit. Il comprit qu'elle se souvenait et qu'elle réclamait vengeance. Il recula, il n'avait aucune arme rien pour se défendre. Et même si la fille n'était pas costaude, elle le terrifiait, le clouant sur place. Elle sortit le bout de miroir et s'avança vers l'homme qui la suppliait de l'épargner. Mais il comprit vite qu'elle n'aurait pas de pitié. Elle vit une dernière fois son regard désespéré avant que le tranchant ne s'enfonce dans le cœur.


Il était mort. Elle avait beaucoup de sang sur les mains mais elle s'en fichait. Les deux personnalités était d'accord sur une choses : elle s n'avaient plus rien à faire en ce monde, elle n'avait plus rien et ne voulait pas finir dans un asile pour le restant de leur vie. Il était plus simple de disparaître, à jamais. Il n'y aurait plus de souffrance comme ça. De leur deux mains et s'en hésitation, elles se donnèrent. On retrouva l’héritière un morceau de miroir dans le cœur au côté de son oncle décédé.


( Je dit bravo à ceux qui auront eu la force de lire ça !!)


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Son crime/pécher:


- Avoir agressé un fillette

- Avoir tué son oncle

- S'être suicidée



Relations : C'est un nouveau départ pour elle, elle n'a personne … (Mais peut être retombera t-elle sur les fantômes de son passé?)



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Manières de RP et disponibilité:

Euh... Tout et n'importe quoi tant que j'ai ce qu'il faut xD Je n'ai rp que sur forum mais par skype ou par tout autre moyen ça ira ^^ Je suis plutôt libre les week-end et pendant les vacances scolaire. En semaine c'est plus compliqué.


Langues de RP

Français et Anglais pourquoi pas mais je ne promet rien.

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