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Description
Murmures…

[…]Peut-être que la raison me cache la vue…que tout mes mots sont a double sens…que depuis tout ce temps…je me voilais la face…comme souvent d’ailleurs…
Que ses larmes ce soir me trouble encore la vue…mais me font revenir à la réalité…
Que je perdais peut-être pied…et que je me noyais dans ce flot de rêves…qui me berçaient paisiblement vers un gouffre...un abîme de douleurs…
Le réveil est dure…sortir d’un coma aussi long m’a rendu pale comme la mort…et triste comme les « si »…peut-être que j’avance sans m’en rendre compte vers un avenir qui n’est peut-être pas le mien… « Peut-être »…
Je me retiens d’écrire bien d’autres mots…parce que se voilais la face c’est tellement agréable…parce que se laisser mourir dans ces rêves c’est encore mieux que de vivre dans ces illusions…et que vivre pour mourir…sa ne prévoit rien de bon… « parce que »…
Alors ce soir elle m’a dit que je pouvais si je le voulais…la laissée partir…mais je l’ai enfermée…afin qu’elle reste en moi…pour qu’elle laisse allumée…cette lueur…
Mais depuis…la petite fille du temps pleure…parce qu’elle ne veut pas grandir avec moi…
Elle…elle veut mourir…elle ne veut pas être empoisonnée par toute ces questions…mais je la garde en sûreté…et la rassure lorsque la nuit vient…blottit sous les draps…pour ne pas voir leurs yeux…et entendre leurs rires…qui me glacent le sang…
A cet instant mes muscles se raidissent…je suis pétrifiée…et elle, ne fait que pleurer…elle ne fait que hurler…se débattre…gémir…leurs demandaient qu’ils nous laissent en paix…ces hommes avec leurs vices qui se reflètent en nous…
Encore un matin…ou je ne me souvient de rien…encore une journée ou elle me demande en vain…de la laissée s’envoler… […]
« Interminable Fin… »

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Murmures…

[…]Peut-être que la raison me cache la vue…que tout mes mots sont a double sens…que depuis tout ce temps…je me voilais la face…comme souvent d’ailleurs…
Que ses larmes ce soir me trouble encore la vue…mais me font revenir à la réalité…
Que je perdais peut-être pied…et que je me noyais dans ce flot de rêves…qui me berçaient paisiblement vers un gouffre...un abîme de douleurs…
Le réveil est dure…sortir d’un coma aussi long m’a rendu pale comme la mort…et triste comme les « si »…peut-être que j’avance sans m’en rendre compte vers un avenir qui n’est peut-être pas le mien… « Peut-être »…
Je me retiens d’écrire bien d’autres mots…parce que se voilais la face c’est tellement agréable…parce que se laisser mourir dans ces rêves c’est encore mieux que de vivre dans ces illusions…et que vivre pour mourir…sa ne prévoit rien de bon… « parce que »…
Alors ce soir elle m’a dit que je pouvais si je le voulais…la laissée partir…mais je l’ai enfermée…afin qu’elle reste en moi…pour qu’elle laisse allumée…cette lueur…
Mais depuis…la petite fille du temps pleure…parce qu’elle ne veut pas grandir avec moi…
Elle…elle veut mourir…elle ne veut pas être empoisonnée par toute ces questions…mais je la garde en sûreté…et la rassure lorsque la nuit vient…blottit sous les draps…pour ne pas voir leurs yeux…et entendre leurs rires…qui me glacent le sang…
A cet instant mes muscles se raidissent…je suis pétrifiée…et elle, ne fait que pleurer…elle ne fait que hurler…se débattre…gémir…leurs demandaient qu’ils nous laissent en paix…ces hommes avec leurs vices qui se reflètent en nous…
Encore un matin…ou je ne me souvient de rien…encore une journée ou elle me demande en vain…de la laissée s’envoler… […]
« Interminable Fin… »