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Description
Je ne sais pas écrire des poèmes, ni de belle rimes. Parfois mes mots sonnent étranges, mes phrases sont en désordres et ne veulent rien dire.
Mais des fois, mon cœur parle, avec des mots simples, mais des mots que tout le monde comprend. Avec des mots qui touchent.
Aujourd’hui, j’ai envie de faire parler mon cœur, j’ai besoin de le dire, de l’écrire, de le montrer. J’ai besoin de montrer cet élan d’affection, parce qu’on ne dit pas assez souvent aux gens qu’on les aime. On rit avec eux, on se dispute, on crie, on pleure, on les insulte, on les câline. C’est notre famille, ce sont nos amis, ce sont nos meilleurs amis. C’est notre monde.
Vous devez sûrement connaître cette jolie phrase « Aux yeux du monde, tu n’es rien ; mais aux yeux de quelqu’un, tu es le monde entier ».
Moi je pense qu’elle est vraie.
Mon monde à moi, ce sont les personnes qui m’entourent, si on me les enlève, je ne suis plus rien, je suis nue, je suis vide.
J’ai divisé mon monde en Quatre Tableaux, j’aurai pu en faire plus, mais ça n’aurait rien changé au résultat et à ce que je veux montrer.

La famille.
Après tout, c’est elle qui m’a vu naître, c’est elle qui m’a élevé, qui m’a éduqué, qui m’a soutenu, qui me protège, qui fait tout pour moi. J’ai toujours eu une grande confiance en mes parents, mon père que je respecte beaucoup et que j’ai honte de moi lorsque je le déçois. Ma mère qui est la plus tendre des mamans, peut-être un peu énervante, mais ça, toutes les mamans le sont, mais c’est sûrement le seul défaut que je lui trouve. J’ai des parents exceptionnels, qui sont toujours ensemble, ils sont formidables, je les aime de tout mon cœur. J’ai de la chance de les avoir et j’en suis très heureuse. Je vous aime très fort, je leur souhaite tant de bonne chose, je leur souhaite tout. J’aime aussi mes deux frères, même si je ne suis pas très proche de l’aîné. Le second m’énerve un peu parfois, mais d’autres fois il m’impressionne et montre sa gentillesse (alors que des fois c’est un gros égoïste !) A eux aussi, je leur souhaite beaucoup de bonheur, je les aime, je suis fière d’être leur sœur et j’espère, au fond de moi, que ma famille est fière de ce que je suis.

Les amis.
Eux aussi, ils m’ont vu grandir, c’est même eux qui m’ont aidé à m’épanouir. Je l’ai déjà dit un jour et je le redis ici, mais j’estime que l’amitié est le plus beau de tous les trésors, aussi fort que l’amour, si ce n’est un petit peu plus fort. Après tout, c’est bien nos amis qui viennent nous soutenir quand on essuie un chagrin d’amour. Nos amis nous suivent toute notre vie. Ma mère m’a dit que justement, ceux qu’on gardait pour la vie, c’était les amis qu’on se faisait au lycée. Je constate aujourd’hui qu’elle a raison. Sauf peut-être Ludivine, que je connais depuis le collège, mais c’est parce qu’elle est restée avec moi jusqu’au lycée ! Mais autres amis du collège, lorsqu’elles sont parti, et bien je les ai rarement revu depuis... ça m’attriste parfois, mais les amis que j’ai maintenant, je les adore. Tous un peu fou-fou, leur personnalité à tous est extraordinaire ! J’aime être avec eux, en soirée, en sortie, je ris beaucoup, je les adore. Je ne veux pas les perdre. Je ne veux perdre aucuns amis, plus jamais, c’est tellement triste.
(J’ai mis mon chéri dans le tableau des amis, parce qu’après tout c’est grâce à eux que je l’ai rencontré <3 !)

Les amis du net. (note: si vous ne trouvez pas votre pseudo dans le tableau, c'est parce que je n'avais plus de place)
Je frapperai celui qui me dira que les amis du net ne sont pas de véritable amis, tout ça parce que c’est « virtuel ». Oui, on ne se voit pas en vrai, oui, on ne fait que se parler, s’envoyer des messages, oui, on n’entend pas la voix de l’autre, oui, il n’y a aucun contact physique... Mais, est-ce réellement important ? Quand on se parle, même si ce n’est que du texte, on envoie ses idées, que les autres lisent, approuvent ou non. Il y a un contact, qui ne se touche pas, ne se voit pas, mais il existe. On peut parler en toute franchise, on se sent même parfois plus à l’aise. Je ne sais pas comment expliquer ça, mais les amis du net sont importants. À défaut d’avoir des amis sur place, ou même si on vit seul loin de sa famille, avec internet on reste en contact et on parle avec d’autres personnes. Parfois, il est même plus facile de dire certaines choses à ceux du net qu’on ne dirait jamais à ceux face à nous. Il n’y a plus de barrière, plus de honte. Et puis, on peut rencontrer des personnes désagréable ou simplement formidable, qu’on aurait jamais pu rencontrer autre part. Alors oui, les amis du net sont de véritable amis, des confidents, des personnes qui nous soutiennent et qui savent être présent, être avec nous. Peut-être pas physiquement, mais leur cœur est là, et parfois, c’est juste ça qui est important.

Flavie.
Je pourrais dire tant de chose, et rien à la fois. Je ne ferai que répéter ce que je te dis en privé, ce que je dis sur mes autres dessins, ce que je dis à chaque fois qu’on me parle de toi. Tu es mon clone, mon âme sœur, mon inspiration, ma force, mes idées, ma joie, mon oxygène, ma boussole, mon amie, ma meilleure amie.
Tu es tout.
Je n’ai peur que d’une seule chose, c’est de te perdre. Qu’on ait une violente dispute qui nous déchire à jamais, ça me fait frissonner. Mais je me dis qu’on s’aime sûrement trop pour ça, on se boude parfois (surtout toi, mais c’est parce que je suis tête en l’air) mais on se réconcilie toujours. Alors finalement je ne m’en inquiète plus, car je crois que si jamais on devait se disputer, je courrai derrière toi pour te rattraper et m’excuser autant de fois qu’il le faut pour que tu me pardonnes. Je ne t’abandonnerai pas, jamais, je serai toujours là pour toi parce que je t’aime fort. Au final ça fait quoi, 4 ans qu’on se connait ? j’ai l’impression que c’est depuis toujours. Plusieurs fois on s’est demandé « mais qu’est-ce qu’on faisait de nos vies avant de se connaître ? » je n’ai toujours pas trouvé la réponse, j’ai oublié, depuis que je te connais. Je passe mes journées et mes nuits avec toi, on rigole, on parle, on ficte, on dessine, on fait plein de chose. Quand tu n’es plus là, il me manque quelque chose, une partie de moi, je ne sais plus quoi faire, je tourne en rond, je n’ai plus le gout à rien. J’ai besoin de toi, que tu sois avec moi. Je sais que tu n’es pas très démonstrative, et que même lorsqu’on se voit en vrai, on ne fait rien de spécial et que tu ne souris pas tout le temps. Si certains t’en on fait le reproche, moi je ne m’en suis jamais plains, tu es comme ça et c’est tout. Si tu ne souris pas assez, je sourirai pour nous deux. Si tu ne sais pas quoi faire, on fera les larves sur le lit en se disant toute les deux qu’il faudrait qu’on avance la BD. C’est sûr que je suis toujours très heureuse quand tu me dis que tu m’adores aussi, parce que je vois à quel point on pense la même chose l’une de l’autre, mais j’ai pas besoin que tu me le dises tout le temps. Quand tu me boudes, ou que tu me fais tes petites crises de jalousie, je le vois bien, ça me fait doucement rire et je suis contente. Je t’aime de tout mon cœur, tu es mon amie la plus précieuse, mon trésor à moi. Si jamais tu as un problème, je viendrai toujours te voir, pour te faire un câlin, pour te soutenir. Si je ne peux pas venir, alors je t’appellerai pour que tu puisses entendre ma voix, pour te dire que je suis avec toi et que je te soutiens.
Je t’adore.
Toi, plus que n’importe qui d’autre, ne me quittes jamais.

Et vous, quels sont vos quatre tableaux ?

Description
Je ne sais pas écrire des poèmes, ni de belle rimes. Parfois mes mots sonnent étranges, mes phrases sont en désordres et ne veulent rien dire.
Mais des fois, mon cœur parle, avec des mots simples, mais des mots que tout le monde comprend. Avec des mots qui touchent.
Aujourd’hui, j’ai envie de faire parler mon cœur, j’ai besoin de le dire, de l’écrire, de le montrer. J’ai besoin de montrer cet élan d’affection, parce qu’on ne dit pas assez souvent aux gens qu’on les aime. On rit avec eux, on se dispute, on crie, on pleure, on les insulte, on les câline. C’est notre famille, ce sont nos amis, ce sont nos meilleurs amis. C’est notre monde.
Vous devez sûrement connaître cette jolie phrase « Aux yeux du monde, tu n’es rien ; mais aux yeux de quelqu’un, tu es le monde entier ».
Moi je pense qu’elle est vraie.
Mon monde à moi, ce sont les personnes qui m’entourent, si on me les enlève, je ne suis plus rien, je suis nue, je suis vide.
J’ai divisé mon monde en Quatre Tableaux, j’aurai pu en faire plus, mais ça n’aurait rien changé au résultat et à ce que je veux montrer.

La famille.
Après tout, c’est elle qui m’a vu naître, c’est elle qui m’a élevé, qui m’a éduqué, qui m’a soutenu, qui me protège, qui fait tout pour moi. J’ai toujours eu une grande confiance en mes parents, mon père que je respecte beaucoup et que j’ai honte de moi lorsque je le déçois. Ma mère qui est la plus tendre des mamans, peut-être un peu énervante, mais ça, toutes les mamans le sont, mais c’est sûrement le seul défaut que je lui trouve. J’ai des parents exceptionnels, qui sont toujours ensemble, ils sont formidables, je les aime de tout mon cœur. J’ai de la chance de les avoir et j’en suis très heureuse. Je vous aime très fort, je leur souhaite tant de bonne chose, je leur souhaite tout. J’aime aussi mes deux frères, même si je ne suis pas très proche de l’aîné. Le second m’énerve un peu parfois, mais d’autres fois il m’impressionne et montre sa gentillesse (alors que des fois c’est un gros égoïste !) A eux aussi, je leur souhaite beaucoup de bonheur, je les aime, je suis fière d’être leur sœur et j’espère, au fond de moi, que ma famille est fière de ce que je suis.

Les amis.
Eux aussi, ils m’ont vu grandir, c’est même eux qui m’ont aidé à m’épanouir. Je l’ai déjà dit un jour et je le redis ici, mais j’estime que l’amitié est le plus beau de tous les trésors, aussi fort que l’amour, si ce n’est un petit peu plus fort. Après tout, c’est bien nos amis qui viennent nous soutenir quand on essuie un chagrin d’amour. Nos amis nous suivent toute notre vie. Ma mère m’a dit que justement, ceux qu’on gardait pour la vie, c’était les amis qu’on se faisait au lycée. Je constate aujourd’hui qu’elle a raison. Sauf peut-être Ludivine, que je connais depuis le collège, mais c’est parce qu’elle est restée avec moi jusqu’au lycée ! Mais autres amis du collège, lorsqu’elles sont parti, et bien je les ai rarement revu depuis... ça m’attriste parfois, mais les amis que j’ai maintenant, je les adore. Tous un peu fou-fou, leur personnalité à tous est extraordinaire ! J’aime être avec eux, en soirée, en sortie, je ris beaucoup, je les adore. Je ne veux pas les perdre. Je ne veux perdre aucuns amis, plus jamais, c’est tellement triste.
(J’ai mis mon chéri dans le tableau des amis, parce qu’après tout c’est grâce à eux que je l’ai rencontré <3 !)

Les amis du net. (note: si vous ne trouvez pas votre pseudo dans le tableau, c'est parce que je n'avais plus de place)
Je frapperai celui qui me dira que les amis du net ne sont pas de véritable amis, tout ça parce que c’est « virtuel ». Oui, on ne se voit pas en vrai, oui, on ne fait que se parler, s’envoyer des messages, oui, on n’entend pas la voix de l’autre, oui, il n’y a aucun contact physique... Mais, est-ce réellement important ? Quand on se parle, même si ce n’est que du texte, on envoie ses idées, que les autres lisent, approuvent ou non. Il y a un contact, qui ne se touche pas, ne se voit pas, mais il existe. On peut parler en toute franchise, on se sent même parfois plus à l’aise. Je ne sais pas comment expliquer ça, mais les amis du net sont importants. À défaut d’avoir des amis sur place, ou même si on vit seul loin de sa famille, avec internet on reste en contact et on parle avec d’autres personnes. Parfois, il est même plus facile de dire certaines choses à ceux du net qu’on ne dirait jamais à ceux face à nous. Il n’y a plus de barrière, plus de honte. Et puis, on peut rencontrer des personnes désagréable ou simplement formidable, qu’on aurait jamais pu rencontrer autre part. Alors oui, les amis du net sont de véritable amis, des confidents, des personnes qui nous soutiennent et qui savent être présent, être avec nous. Peut-être pas physiquement, mais leur cœur est là, et parfois, c’est juste ça qui est important.

Flavie.
Je pourrais dire tant de chose, et rien à la fois. Je ne ferai que répéter ce que je te dis en privé, ce que je dis sur mes autres dessins, ce que je dis à chaque fois qu’on me parle de toi. Tu es mon clone, mon âme sœur, mon inspiration, ma force, mes idées, ma joie, mon oxygène, ma boussole, mon amie, ma meilleure amie.
Tu es tout.
Je n’ai peur que d’une seule chose, c’est de te perdre. Qu’on ait une violente dispute qui nous déchire à jamais, ça me fait frissonner. Mais je me dis qu’on s’aime sûrement trop pour ça, on se boude parfois (surtout toi, mais c’est parce que je suis tête en l’air) mais on se réconcilie toujours. Alors finalement je ne m’en inquiète plus, car je crois que si jamais on devait se disputer, je courrai derrière toi pour te rattraper et m’excuser autant de fois qu’il le faut pour que tu me pardonnes. Je ne t’abandonnerai pas, jamais, je serai toujours là pour toi parce que je t’aime fort. Au final ça fait quoi, 4 ans qu’on se connait ? j’ai l’impression que c’est depuis toujours. Plusieurs fois on s’est demandé « mais qu’est-ce qu’on faisait de nos vies avant de se connaître ? » je n’ai toujours pas trouvé la réponse, j’ai oublié, depuis que je te connais. Je passe mes journées et mes nuits avec toi, on rigole, on parle, on ficte, on dessine, on fait plein de chose. Quand tu n’es plus là, il me manque quelque chose, une partie de moi, je ne sais plus quoi faire, je tourne en rond, je n’ai plus le gout à rien. J’ai besoin de toi, que tu sois avec moi. Je sais que tu n’es pas très démonstrative, et que même lorsqu’on se voit en vrai, on ne fait rien de spécial et que tu ne souris pas tout le temps. Si certains t’en on fait le reproche, moi je ne m’en suis jamais plains, tu es comme ça et c’est tout. Si tu ne souris pas assez, je sourirai pour nous deux. Si tu ne sais pas quoi faire, on fera les larves sur le lit en se disant toute les deux qu’il faudrait qu’on avance la BD. C’est sûr que je suis toujours très heureuse quand tu me dis que tu m’adores aussi, parce que je vois à quel point on pense la même chose l’une de l’autre, mais j’ai pas besoin que tu me le dises tout le temps. Quand tu me boudes, ou que tu me fais tes petites crises de jalousie, je le vois bien, ça me fait doucement rire et je suis contente. Je t’aime de tout mon cœur, tu es mon amie la plus précieuse, mon trésor à moi. Si jamais tu as un problème, je viendrai toujours te voir, pour te faire un câlin, pour te soutenir. Si je ne peux pas venir, alors je t’appellerai pour que tu puisses entendre ma voix, pour te dire que je suis avec toi et que je te soutiens.
Je t’adore.
Toi, plus que n’importe qui d’autre, ne me quittes jamais.

Et vous, quels sont vos quatre tableaux ?