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Description
Dohahaha ! Me voilà, je suis de retour ! Hm, pas forcément pour vous jouer un mauvais tour ! ^o^
Me voilà prêt à rejoindre ce super RP avec mon OC, Erika LeBlanc !
Les lines sont de moi mais, par soucis technique, la colo et l'incrustation ont été faites par Arilya21 , mon cher ami de toujours !
J'espère que ma petite fleur vous plaira...! :3
PS : Oui, je sais, mon Yokai fait énormément penser à la personne à laquelle vous pensez...si jamais bien sûr vous pensez à cette personne là ! xD

_______________________________________________________________

Sur votre personnage :

Nom: LeBlanc
Prénom: Erika
Age: 15 ans
Sexe: Féminin
Taille: 1m65
Grade: Kaa
Division: 3ème Année.

Personnalité: Délicate demoiselle à la beauté comparable à celle d'une fleur, Erika LeBlanc est une jeune fille qui voue sa vie entière à ses plantes et à la nature, qu'elle considère comme de véritables êtres, comme sa famille elle même. Gracile et éclatante, elle est douce et attentionnée envers tout ses petits protégés végétaux et s'occupe d'eux comme si elle s'occupait d'un nourrisson humain.
Gare à celui qui portera atteinte à n'importe quelle plante, car elle délaissera son apparence mignonne et inoffensive pour devenir une véritable furie, se transformant en un être maléfique et médisant prêt à tout pour punir la personne qui a maltraité ses protégés...
Plutôt solitaire, elle préférera se lier d'amitié avec peu de personnes mais plutôt avec des gens sincères et avec qui elle sera sûre de rester en contact par la suite et en ce qui concerne l'amour, elle préfère ne pas y penser !
Erika possède également une sœur, Vanessa LeBlanc, de deux ans son aînée. Erika aime sa sœur, du plus profond de son cœur, mais sa dévotion pour les plantes fait qu'elle ne l'affiche pas, ou que très rarement. D'ailleurs, elle est parfois victime de petites railleries ou plaisanteries de sa grande sœur au sujet de son comportement vis-à-vis des fleurs mais n'y réponds jamais, estimant que cela n'en vaut pas la peine, de même qu'elle ne montre jamais que ces petits pics lui font un peu mal...
Erika sait que sa sœur ne pense pas à mal et que cela est juste de la grande taquinerie, mais elle lutte chaque fois pour ne pas que sa facette démoniaque ne refasse surface, car elle sait très bien que, plusieurs fois, Vanessa l'avait titillé avec ses répliques acerbes...

Il n'est pas toujours facile de distinguer les bons des méchants. Les pêcheurs peuvent nous surprendre, et les vertueux tout autant. Pour nous, les gens sont généralement ou tout blancs, ou tout noirs, et pourquoi ? Parce que personne ne veut reconnaître que la compassion et la cruauté peuvent cohabiter dans un même cœur, et que chaque individu est capable du meilleur, comme du pire...

Aime: Les plantes, la nature, l'ikebana, jouer de la harpe, s'occuper de ses fleurs, sa sœur.
N’aime pas: L'urbanisation, ceux qui ne respectent pas la nature, voir une plante à l'agonie, la pollution.
Hobby: S'occuper de son jardin et de ses fleurs, leur parler, leur jouer de la musique.

Arme: Rose. Erika possède une petite baguette de métal en forme de rose avec laquelle elle peut, grâce à plusieurs déclencheurs cachés dessus, diffuser diverses poudres à effets différents ainsi que des dards empoisonnés. Bien entendu, la baguette ne fonctionne pas sur les Yokais mais sur les humains, toutefois elle peut cependant les gêner ou les déconcentrer si Erika s'applique bien lors de la projection de sa poudre.
La baguette contient :
Poudre verte : poudre de sommeil.
Poudre jaune : poudre paralysante.
Poudre rose : poudre hallucinogène.
Poudre bleue : poudre suffocante.
Dards/aiguilles blessantes.

Signe particulier : Lorsqu'elle estime que l'on ne respecte pas la nature ou pire, qu'on la bafoue, elle change complètement d'apparence et devient incontrôlable.
Depuis son pacte avec Chrysalide, Erika ne respire plus d'oxygène mais du CO², à la manière d'une plante et rejette donc de l'oxygène. Et, de la même manière, elle pratique la photosynthèse par le biais de la lumière solaire...

Statut : Célibataire, sœur de Vanessa LeBlanc .

Sur votre démon :

Nom: Chrysalide
Sexe: Féminin
Taille: 1m70
Animal: Renard (à 9 queues)

Personnalité: Incarnation même de Dame Nature, Chrysalide vit pour et par les plantes, elle est l'esprit divin qui les représente et les contrôle.
La planté vénéneuse possède un comportement très fourbe, venimeux et fatal, trait assez répandu chez les Kitsunes...
Elle aime les plans tortueux dans lesquels elle pourra observer ses victimes s'entortiller dans ses pièges qu'elle a prévu avec soin en pensant à leur souffrance.
Elle agit afin que les plantes puissent un jour, de nouveau, peupler ce monde et retrouver leur gloire d'antan, très véhémente vis à vis des humains.
C'est pour cela qu'elle les charme, les attire, et les manipule comme de vulgaires poupées de chiffon et les jette ensuite au loin comme si de rien était, tout les moyens sont bons pour pouvoir attendre ses objectifs, même si pour cela elle doit commettre l'irréparable.
Femme fatale, prédatrice venimeuse, Chrysalide existera tant que les plantes existe, et pour qu'elle puisse exister pour toujours, il va de soi qu'elle est prête à détruire le monde pour que ses fleurs et ses spores le recouvre ensuite pour le repeupler....

Aime : Punir ceux qui bafouent la nature et les plantes, détruire les constructions des hommes, charmer les hommes.
N'aime pas : Voir la nature en péril, les Tanukis.

Armes : Ronces (cf. Contrôle de la Flore). Chrysalide utilise des ronces qu'elle invoque grâce à son pouvoir de contrôle de la flore et elle peut, si elle le désire, les utiliser comme fouet ou épée en faisant grandir leurs épines.

Pouvoir et Attaque:
- Contrôle de la Flore : Chrysalide est capable d’appeler les forces de la nature pour pouvoir faire pousser toutes sortes de plantes, comme des ronces, des lianes, des racines ou même des plantes carnivores ainsi que de contrôler leur croissance et les manipuler à volonté. Grâce à ce pouvoir, elle peut également communiquer avec les plantes.
Le contrôle de la Flore se limite essentiellement aux fleurs, aux ronces, ainsi qu'aux racines et n'a donc pas d'influence sur les arbres sauf si c'est pour communiquer avec eux.

- Phéromones : Chrysalide souffle et peut produire des phéromones de séduction apparaissant sous forme de poussière rosée et peut, grâce à cela, charmer les humains et les faire agir comme elle le souhaite. Assommer la victime permet de la libérer du joug des phéromones.

Relation maître et yokai : La relation entre Chrysalide et Erika est disons...étrange. A première vue, Erika aurait l'air d'être soumise corps et âme à Chrysalide mais en réalité, il n'en est rien.
Chrysalide voit en Erika l'espoir d'un renouveau pour le monde des plantes, comme celle qui devra incarner sa main et sa voix contre ceux qui les détruisent et les maltraitent, elle considère Erika comme sa seule et unique amie, même si elle ne le montre pas...
Quant-à Erika, elle voit en Chrysalide celle dont elle aimerait être la petite sœur, la seule capable de la comprendre et d'assimiler ses ressentis et ses sentiments, à la fois confidente et amie.
Toutefois...qui sait ce que veut réellement Chrysalide et qui peut se prétendre apte à comprendre les émotions d'Erika... ?

Histoire personnelle de l'élève :

Erika LeBlanc. Beaucoup de choses contenues dans un nom si cours, si charmant, si délicat...

Elle est la fille d'un grand avocat à la retraite et d'une femme simple au cœur doré et tendre.
Depuis qu'elle est née, la petite demoiselle a grandit dans le peu de luxe que pouvait lui donnait son père, travailleur acharné et émérite et nommé « as du barreau » partout où il passait.
On remarqua très vite que la petite Erika prit plus de traits communs avec sa mère qu'avec son père, elle passait énormément de temps en sa compagnie, aimant la regarder jouer de la musique, préparer de beaux gâteaux ou arroser doucement ses fleurs dans la grande serre familiale.
C'était en ce lieu qu'elle passait le plus clair de son temps, au milieu des couleurs chatoyantes, douces, ainsi qu'au milieu des belles senteurs parfumées qui émanait des splendides corolles des fleurs épanouies. Roses, Lys, fleurs d'oranger, Orchidées, Dahlias...Tant de couleurs, tant de parfums qu'elle ne savait plus où donner de la tête, si bien qu'en grandissant, elle se prit de passion pour la nature et les plantes, et au fur et à mesure que les années passaient, cette passion grandissait. Et la passion devint un idéal de vie, puis l'idéal de vie se transforma en amour, et l'amour devint très rapidement une véritable dévotion...

C'était en Novembre, il pleuvait et faisait froid ce jour là, mais c'est en cet après-midi pluvieux qu'un petit bébé à l'allure angélique décida de venir au monde.
Il possédait de splendides yeux verts aussi beaux et intenses que deux joyaux d'émeraude, une beauté digne d'un ange et une chevelure aussi flamboyante que le feu.
Ses parents, un avocat à la retraite et une femme au foyer sans grand intérêt, furent tellement surpris de cette naissance, arrivant comme un cadeau que l'on trouve au pied du sapin le soir de Noël. Mais la petite était tellement jolie, tellement royale, qu'ils décidèrent de lui donner un nom signifiant « belle souveraine », Erika.
Toutefois ils voulaient garder cet enfant et furent donc contraints de vendre leur appartement plutôt cossu pour investir dans un grand manoir au beau milieu d'une étrange forêt aussi dense que mystérieuse. Et c'est dans cette maison qu'Erika grandit et s'épanouit.
Son père, un ancien avocat fou amoureux de sa mère, vouait sa vie à satisfaire les besoins de sa mère, si bien qu'il en tomba très rapidement malade. Depuis, il accordait que peu de temps à sa petite fille et préférait continuer à entraîner Vanessa, la grande sœur d'Erika, à manier les armes du mieux qu'il le pouvait, la laissant jouer avec sa mère, celle qui tenu le rôle de précepteur pour l'enfant.
Avec elle, elle apprit la musique, les arts, la cuisine, l'art de la parole mais aussi à aimer la nature, élément qui se développa plus que les autres.
Les années passèrent sans grand changement jusqu'à ce grand soir d'hiver. Erika avait 7ans, et, aux côtés de sa mère et de sa sœur, vit son père mourir sous ses yeux, trop harassé par la souffrance et sa maladie, adressant un dernier sourire aux trois femmes...
Ce fut à ce moment précis que la vie d'Erika prit une toute autre tournure...
Désormais, elle était cantonnée à la maison par sa sœur, cette dernière partant au dehors dans la forêt pour des raisons qu'Erika préférait ne pas savoir tandis qu'elle devait rester aux côtés de sa pauvre mère, désormais en dépression à cause de la mort de son cher mari, évitant de sombrer dans la folie grâce aux bons soins de sa fille.
Voyant sa mère dépérir et se faner littéralement, Erika ne trouvait refuge que dans un seul lieu : la serre.
Et c'était là, au milieu des plantes et des fleurs, qu'elle trouvait le réconfort dont elle avait besoin et l'amour qu'elle n'avait pas reçu. C'était là qu'elle pouvait retrouver ses seuls amis, les seuls êtres qui savaient l'écouter et effacer sa peine. Car elle souffrait. Elle souffrait la pauvre, elle souffrait de ne pas avoir pu connaître davantage son père, de voir que sa mère était la seule fleur dont elle ne pouvait s'occuper convenablement et que sa sœur partait dehors et la délaissait quelques peu à l'intérieur, toute seule.
Elle se réconfortait en voyant alors ses plantes et ses fleurs, ses « bébés » comme elle aimait les appeler, des petits êtres qu'elle voyait grandir et qui ne fanaient jamais grâce aux bons soins qu'elle lui prodiguait.
Telle était sa vie. Une vie dans laquelle elle voyait chaque jours la mort et la vie.

Elle avait grandit depuis...
C'était un jour qui semblait être comme les autres. Elle l'avait passé en compagnie de sa mère, lui jouant un peu de flûte et lui parler de tout et de rien.
Elle était redescendue dans le hall, guettant le retour d'une sœur qui ne revenait pas, toujours pas. Erika partit alors arroser amoureusement ses bébés avant de revenir vers la fenêtre. Les heures défilaient et rien ne revenait, l'inquiétude et l'angoisse commençait à se faire ressentir...
Mort d'inquiétude, la jeune fille décida d'aller braver les dangers de la forêt à la recherche de Vanessa, désireuse de la ramener à la maison et de découvrir ce qui la retardait tant.
Elle pénétra alors dans l'orée menaçante du bois, sans savoir que sa sœur n'était pas passée par là...
Elle s'avançait entre les racines, les troncs et les buissons, le cœur serré mais toujours courageuse, se blottissant contre l'écorce des arbres lorsqu'un animal hululait ou couinait un peu fort. La cime des grands arbres avaient déjà recouvert la totalité du ciel si bien qu'elle ne pouvait plus savoir si il faisait jour ou nuit au dessus de sa tête.
C'est alors que, soudainement, elle arriva au beau milieu d'une grande cour, la cour d'un temple sombre, en ruine et rempli de mousse. Là, Erika commençait à paniquer et à avoir un peu peur...elle ne voyait pas que quelques racines bougeaient d'elle même sur le sol et que certaines fleurs se mouvaient dans l'ombre en fonction de ses mouvements.
« Vanessa ? » appelait-elle, mais rien ne répondait...
Elle entra alors dans le bâtiment à l'abandon, ressentant que quelque chose en vie s'y trouvait, peut être sa sœur... ?
Elle déambulait dans les salles vides, sans que rien ne l'attaque ou la surprenne malgré les dangers et les pièges contenus dans ces grandes salles. Et, elle le trouva, le Jardin.
C'était un grand jardin, un immense jardin. Le plus beau qu'elle n'eut jamais vu. De l'herbe grasse et de la mousse tapissaient le sol anciennement marbré, de grands arbres fleuris servaient d'arches et étaient recouvert d'une glycine violette éclatante. Des bonsaïs et des bosquets de fleurs multicolores poussaient et vivaient ça et là, laissant la petite se demander qui s'occupait d'un petit coin de paradis aussi beau et c'est là qu'elle la vie, une fleur, la grande fleur.
C'était une rose rouge, mais pas n'importe quelle rose, une rose gigantesque, de plusieurs mètres de haut et de large, toujours fermée, aussi écarlate qu'un rubis.
Erika avait oublié sa sœur depuis son entrée même dans le jardin et ne quittait plus des yeux la grosse rose. Et elle s'avança vers elle sans s'en rendre compte. Et la rose s'ouvrit doucement, tout doucement...et, Elle en sortit.

Elle était assise à l'intérieur, une grande femme à la peau verte parsemée de plusieurs petites feuilles, une beauté tellement envoûtante, des cheveux de la même couleur que la rose et des yeux aussi brillants que de l'or. Elle ne cachait pas vraiment sa nudité apparente et semblait posséder, à la place d'oreilles humaines, deux petites oreilles pointues et argentées, ressemblant à des oreilles de renard. Ce n'était pas la seule particularité étrange qu'elle possédait, en effet, elle avait également neufs queues d'argent et en panache semblables à celle d'un renard. Et elle gardait un petit air mystérieux et mystique à l'image de cet animal des forêts...
Erika s'approcha encore.
« ….Qui êtes vous... ? »
Et elle lui dit alors son nom, il résonna à ses oreilles comme un carillon. Chrysalide.

Erika remarqua vite que la grande dame ne lui voulait aucun mal et elle resta longtemps avec elle, lui parlant de son amour immodéré pour les plantes et les fleurs, ce qui sembla beaucoup intéresser la femme-renarde. Cette dernière raconta à Erika que ce temple abandonné était sa maison, et qu'elle habitait ici car on l'avait chassé de la forêt, son ancienne demeure. Elle raconta qu'elle avait été chassé par un Tanuki, étrange créature dont la demoiselle n'avait jamais entendu parlé, mais elle trouvait méchant de chasser une jolie dame de la sorte, surtout si elle avait un beau jardin comme celui là !
Erika lui raconta son histoire, ce qu'elle vivait chaque jours chez elle, et lui révéla la peine qu'elle ressentait, la jeune fille présentant qu'elle pouvait tout avouer à cette étrange nouvelle connaissance...
La voix de Chrysalide raisonna de nouveau.
« Ma pauvre enfant...Moi je suis enfermée ici de la même manière que toi tu es enfermée par ta sœur...tu as bravé l'interdit pour la tenter de la retrouver, tu es vraiment quelqu'un de courageux... ! Je ne peux sortir de peur que le Tanuki me retrouve, alors je reste dans mon jardin, là où il ne viendra jamais me chercher ! Dis moi...cela fait longtemps que je n'ai pas eu si agréable compagnie en ces lieux...j'aimerais bien que tu reviennes me voir, si cela ne te fait rien bien entendu... ! »
Erika fut tellement ravie et enjouée, elle avait enfin trouvé une belle amie avec qui elle pouvait discuter, s'amuser et surtout partager son amour des plantes...
Elle revint a la maison plus tard, se rendant compte qu'il était tard et que la nuit s'apprêtait à tomber et avait complètement oublié Vanessa.

Les jours et les mois qui suivirent furent les plus joyeux qu'Erika vécut. Elle partait tout les jours en cachette vers le temple de Chrysalide et passait de grands moments avec la belle femme.
Chrysalide lui montrait à chaque fois de nouvelles fleurs et de nouvelles plantes, s'amusant avec la petite fille comme une vraie grande sœur, ce qui faisait oublié à la jeune fille qu'elle en possédait déjà une...
Parfois, elle reparlait du Tanuki, et chaque fois qu'elle en parlait, Erika ne pouvait s'empêcher de penser que cet être ne pouvait pas être quelqu'un de bon ! Quelqu'un qui empêche la reine des plantes de faire vivre ses sujets ne peux pas être quelqu'un de bon pour la petite demoiselle...
La relation entre les deux femmes devint de plus en plus fusionnelle si bien qu'un jour Chrysalide lui avoua qu'elle n'était pas une mortelle comme les autres, mais qu'elle était qu'une Yokai, un être surnaturelle et hors du commun capable de manipuler la Magie...
« Ma douce Erika...Tu as été ma seule et unique amie durant tout ce temps. Tout ces mois passés toutes les deux ont été pour moi quelque chose de vraiment merveilleux ! J'aimerais vraiment pouvoir rester avec toi mon enfant... ! »
Erika fut tout de suite intéressée.
« Je resterai avec toi pour toujours mais uniquement si tu l'acceptes. Après cela, mes pouvoirs seront à ton service, et nous pourrons nous amuser ensembles pour toujours. Et surtout, ensembles, pouvoir faire de ce monde un monde meilleur....pour les plantes...Le veux-tu ? »
Erika acquiesça sans hésitation, elle était prête à tout pour les plantes, et surtout pour garder son unique amie pour toujours avec elle.
« Merveilleux ma chérie....Alors ainsi soit-il. ! »

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Dohahaha ! Me voilà, je suis de retour ! Hm, pas forcément pour vous jouer un mauvais tour ! ^o^
Me voilà prêt à rejoindre ce super RP avec mon OC, Erika LeBlanc !
Les lines sont de moi mais, par soucis technique, la colo et l'incrustation ont été faites par Arilya21 , mon cher ami de toujours !
J'espère que ma petite fleur vous plaira...! :3
PS : Oui, je sais, mon Yokai fait énormément penser à la personne à laquelle vous pensez...si jamais bien sûr vous pensez à cette personne là ! xD

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Sur votre personnage :

Nom: LeBlanc
Prénom: Erika
Age: 15 ans
Sexe: Féminin
Taille: 1m65
Grade: Kaa
Division: 3ème Année.

Personnalité: Délicate demoiselle à la beauté comparable à celle d'une fleur, Erika LeBlanc est une jeune fille qui voue sa vie entière à ses plantes et à la nature, qu'elle considère comme de véritables êtres, comme sa famille elle même. Gracile et éclatante, elle est douce et attentionnée envers tout ses petits protégés végétaux et s'occupe d'eux comme si elle s'occupait d'un nourrisson humain.
Gare à celui qui portera atteinte à n'importe quelle plante, car elle délaissera son apparence mignonne et inoffensive pour devenir une véritable furie, se transformant en un être maléfique et médisant prêt à tout pour punir la personne qui a maltraité ses protégés...
Plutôt solitaire, elle préférera se lier d'amitié avec peu de personnes mais plutôt avec des gens sincères et avec qui elle sera sûre de rester en contact par la suite et en ce qui concerne l'amour, elle préfère ne pas y penser !
Erika possède également une sœur, Vanessa LeBlanc, de deux ans son aînée. Erika aime sa sœur, du plus profond de son cœur, mais sa dévotion pour les plantes fait qu'elle ne l'affiche pas, ou que très rarement. D'ailleurs, elle est parfois victime de petites railleries ou plaisanteries de sa grande sœur au sujet de son comportement vis-à-vis des fleurs mais n'y réponds jamais, estimant que cela n'en vaut pas la peine, de même qu'elle ne montre jamais que ces petits pics lui font un peu mal...
Erika sait que sa sœur ne pense pas à mal et que cela est juste de la grande taquinerie, mais elle lutte chaque fois pour ne pas que sa facette démoniaque ne refasse surface, car elle sait très bien que, plusieurs fois, Vanessa l'avait titillé avec ses répliques acerbes...

Il n'est pas toujours facile de distinguer les bons des méchants. Les pêcheurs peuvent nous surprendre, et les vertueux tout autant. Pour nous, les gens sont généralement ou tout blancs, ou tout noirs, et pourquoi ? Parce que personne ne veut reconnaître que la compassion et la cruauté peuvent cohabiter dans un même cœur, et que chaque individu est capable du meilleur, comme du pire...

Aime: Les plantes, la nature, l'ikebana, jouer de la harpe, s'occuper de ses fleurs, sa sœur.
N’aime pas: L'urbanisation, ceux qui ne respectent pas la nature, voir une plante à l'agonie, la pollution.
Hobby: S'occuper de son jardin et de ses fleurs, leur parler, leur jouer de la musique.

Arme: Rose. Erika possède une petite baguette de métal en forme de rose avec laquelle elle peut, grâce à plusieurs déclencheurs cachés dessus, diffuser diverses poudres à effets différents ainsi que des dards empoisonnés. Bien entendu, la baguette ne fonctionne pas sur les Yokais mais sur les humains, toutefois elle peut cependant les gêner ou les déconcentrer si Erika s'applique bien lors de la projection de sa poudre.
La baguette contient :
Poudre verte : poudre de sommeil.
Poudre jaune : poudre paralysante.
Poudre rose : poudre hallucinogène.
Poudre bleue : poudre suffocante.
Dards/aiguilles blessantes.

Signe particulier : Lorsqu'elle estime que l'on ne respecte pas la nature ou pire, qu'on la bafoue, elle change complètement d'apparence et devient incontrôlable.
Depuis son pacte avec Chrysalide, Erika ne respire plus d'oxygène mais du CO², à la manière d'une plante et rejette donc de l'oxygène. Et, de la même manière, elle pratique la photosynthèse par le biais de la lumière solaire...

Statut : Célibataire, sœur de Vanessa LeBlanc .

Sur votre démon :

Nom: Chrysalide
Sexe: Féminin
Taille: 1m70
Animal: Renard (à 9 queues)

Personnalité: Incarnation même de Dame Nature, Chrysalide vit pour et par les plantes, elle est l'esprit divin qui les représente et les contrôle.
La planté vénéneuse possède un comportement très fourbe, venimeux et fatal, trait assez répandu chez les Kitsunes...
Elle aime les plans tortueux dans lesquels elle pourra observer ses victimes s'entortiller dans ses pièges qu'elle a prévu avec soin en pensant à leur souffrance.
Elle agit afin que les plantes puissent un jour, de nouveau, peupler ce monde et retrouver leur gloire d'antan, très véhémente vis à vis des humains.
C'est pour cela qu'elle les charme, les attire, et les manipule comme de vulgaires poupées de chiffon et les jette ensuite au loin comme si de rien était, tout les moyens sont bons pour pouvoir attendre ses objectifs, même si pour cela elle doit commettre l'irréparable.
Femme fatale, prédatrice venimeuse, Chrysalide existera tant que les plantes existe, et pour qu'elle puisse exister pour toujours, il va de soi qu'elle est prête à détruire le monde pour que ses fleurs et ses spores le recouvre ensuite pour le repeupler....

Aime : Punir ceux qui bafouent la nature et les plantes, détruire les constructions des hommes, charmer les hommes.
N'aime pas : Voir la nature en péril, les Tanukis.

Armes : Ronces (cf. Contrôle de la Flore). Chrysalide utilise des ronces qu'elle invoque grâce à son pouvoir de contrôle de la flore et elle peut, si elle le désire, les utiliser comme fouet ou épée en faisant grandir leurs épines.

Pouvoir et Attaque:
- Contrôle de la Flore : Chrysalide est capable d’appeler les forces de la nature pour pouvoir faire pousser toutes sortes de plantes, comme des ronces, des lianes, des racines ou même des plantes carnivores ainsi que de contrôler leur croissance et les manipuler à volonté. Grâce à ce pouvoir, elle peut également communiquer avec les plantes.
Le contrôle de la Flore se limite essentiellement aux fleurs, aux ronces, ainsi qu'aux racines et n'a donc pas d'influence sur les arbres sauf si c'est pour communiquer avec eux.

- Phéromones : Chrysalide souffle et peut produire des phéromones de séduction apparaissant sous forme de poussière rosée et peut, grâce à cela, charmer les humains et les faire agir comme elle le souhaite. Assommer la victime permet de la libérer du joug des phéromones.

Relation maître et yokai : La relation entre Chrysalide et Erika est disons...étrange. A première vue, Erika aurait l'air d'être soumise corps et âme à Chrysalide mais en réalité, il n'en est rien.
Chrysalide voit en Erika l'espoir d'un renouveau pour le monde des plantes, comme celle qui devra incarner sa main et sa voix contre ceux qui les détruisent et les maltraitent, elle considère Erika comme sa seule et unique amie, même si elle ne le montre pas...
Quant-à Erika, elle voit en Chrysalide celle dont elle aimerait être la petite sœur, la seule capable de la comprendre et d'assimiler ses ressentis et ses sentiments, à la fois confidente et amie.
Toutefois...qui sait ce que veut réellement Chrysalide et qui peut se prétendre apte à comprendre les émotions d'Erika... ?

Histoire personnelle de l'élève :

Erika LeBlanc. Beaucoup de choses contenues dans un nom si cours, si charmant, si délicat...

Elle est la fille d'un grand avocat à la retraite et d'une femme simple au cœur doré et tendre.
Depuis qu'elle est née, la petite demoiselle a grandit dans le peu de luxe que pouvait lui donnait son père, travailleur acharné et émérite et nommé « as du barreau » partout où il passait.
On remarqua très vite que la petite Erika prit plus de traits communs avec sa mère qu'avec son père, elle passait énormément de temps en sa compagnie, aimant la regarder jouer de la musique, préparer de beaux gâteaux ou arroser doucement ses fleurs dans la grande serre familiale.
C'était en ce lieu qu'elle passait le plus clair de son temps, au milieu des couleurs chatoyantes, douces, ainsi qu'au milieu des belles senteurs parfumées qui émanait des splendides corolles des fleurs épanouies. Roses, Lys, fleurs d'oranger, Orchidées, Dahlias...Tant de couleurs, tant de parfums qu'elle ne savait plus où donner de la tête, si bien qu'en grandissant, elle se prit de passion pour la nature et les plantes, et au fur et à mesure que les années passaient, cette passion grandissait. Et la passion devint un idéal de vie, puis l'idéal de vie se transforma en amour, et l'amour devint très rapidement une véritable dévotion...

C'était en Novembre, il pleuvait et faisait froid ce jour là, mais c'est en cet après-midi pluvieux qu'un petit bébé à l'allure angélique décida de venir au monde.
Il possédait de splendides yeux verts aussi beaux et intenses que deux joyaux d'émeraude, une beauté digne d'un ange et une chevelure aussi flamboyante que le feu.
Ses parents, un avocat à la retraite et une femme au foyer sans grand intérêt, furent tellement surpris de cette naissance, arrivant comme un cadeau que l'on trouve au pied du sapin le soir de Noël. Mais la petite était tellement jolie, tellement royale, qu'ils décidèrent de lui donner un nom signifiant « belle souveraine », Erika.
Toutefois ils voulaient garder cet enfant et furent donc contraints de vendre leur appartement plutôt cossu pour investir dans un grand manoir au beau milieu d'une étrange forêt aussi dense que mystérieuse. Et c'est dans cette maison qu'Erika grandit et s'épanouit.
Son père, un ancien avocat fou amoureux de sa mère, vouait sa vie à satisfaire les besoins de sa mère, si bien qu'il en tomba très rapidement malade. Depuis, il accordait que peu de temps à sa petite fille et préférait continuer à entraîner Vanessa, la grande sœur d'Erika, à manier les armes du mieux qu'il le pouvait, la laissant jouer avec sa mère, celle qui tenu le rôle de précepteur pour l'enfant.
Avec elle, elle apprit la musique, les arts, la cuisine, l'art de la parole mais aussi à aimer la nature, élément qui se développa plus que les autres.
Les années passèrent sans grand changement jusqu'à ce grand soir d'hiver. Erika avait 7ans, et, aux côtés de sa mère et de sa sœur, vit son père mourir sous ses yeux, trop harassé par la souffrance et sa maladie, adressant un dernier sourire aux trois femmes...
Ce fut à ce moment précis que la vie d'Erika prit une toute autre tournure...
Désormais, elle était cantonnée à la maison par sa sœur, cette dernière partant au dehors dans la forêt pour des raisons qu'Erika préférait ne pas savoir tandis qu'elle devait rester aux côtés de sa pauvre mère, désormais en dépression à cause de la mort de son cher mari, évitant de sombrer dans la folie grâce aux bons soins de sa fille.
Voyant sa mère dépérir et se faner littéralement, Erika ne trouvait refuge que dans un seul lieu : la serre.
Et c'était là, au milieu des plantes et des fleurs, qu'elle trouvait le réconfort dont elle avait besoin et l'amour qu'elle n'avait pas reçu. C'était là qu'elle pouvait retrouver ses seuls amis, les seuls êtres qui savaient l'écouter et effacer sa peine. Car elle souffrait. Elle souffrait la pauvre, elle souffrait de ne pas avoir pu connaître davantage son père, de voir que sa mère était la seule fleur dont elle ne pouvait s'occuper convenablement et que sa sœur partait dehors et la délaissait quelques peu à l'intérieur, toute seule.
Elle se réconfortait en voyant alors ses plantes et ses fleurs, ses « bébés » comme elle aimait les appeler, des petits êtres qu'elle voyait grandir et qui ne fanaient jamais grâce aux bons soins qu'elle lui prodiguait.
Telle était sa vie. Une vie dans laquelle elle voyait chaque jours la mort et la vie.

Elle avait grandit depuis...
C'était un jour qui semblait être comme les autres. Elle l'avait passé en compagnie de sa mère, lui jouant un peu de flûte et lui parler de tout et de rien.
Elle était redescendue dans le hall, guettant le retour d'une sœur qui ne revenait pas, toujours pas. Erika partit alors arroser amoureusement ses bébés avant de revenir vers la fenêtre. Les heures défilaient et rien ne revenait, l'inquiétude et l'angoisse commençait à se faire ressentir...
Mort d'inquiétude, la jeune fille décida d'aller braver les dangers de la forêt à la recherche de Vanessa, désireuse de la ramener à la maison et de découvrir ce qui la retardait tant.
Elle pénétra alors dans l'orée menaçante du bois, sans savoir que sa sœur n'était pas passée par là...
Elle s'avançait entre les racines, les troncs et les buissons, le cœur serré mais toujours courageuse, se blottissant contre l'écorce des arbres lorsqu'un animal hululait ou couinait un peu fort. La cime des grands arbres avaient déjà recouvert la totalité du ciel si bien qu'elle ne pouvait plus savoir si il faisait jour ou nuit au dessus de sa tête.
C'est alors que, soudainement, elle arriva au beau milieu d'une grande cour, la cour d'un temple sombre, en ruine et rempli de mousse. Là, Erika commençait à paniquer et à avoir un peu peur...elle ne voyait pas que quelques racines bougeaient d'elle même sur le sol et que certaines fleurs se mouvaient dans l'ombre en fonction de ses mouvements.
« Vanessa ? » appelait-elle, mais rien ne répondait...
Elle entra alors dans le bâtiment à l'abandon, ressentant que quelque chose en vie s'y trouvait, peut être sa sœur... ?
Elle déambulait dans les salles vides, sans que rien ne l'attaque ou la surprenne malgré les dangers et les pièges contenus dans ces grandes salles. Et, elle le trouva, le Jardin.
C'était un grand jardin, un immense jardin. Le plus beau qu'elle n'eut jamais vu. De l'herbe grasse et de la mousse tapissaient le sol anciennement marbré, de grands arbres fleuris servaient d'arches et étaient recouvert d'une glycine violette éclatante. Des bonsaïs et des bosquets de fleurs multicolores poussaient et vivaient ça et là, laissant la petite se demander qui s'occupait d'un petit coin de paradis aussi beau et c'est là qu'elle la vie, une fleur, la grande fleur.
C'était une rose rouge, mais pas n'importe quelle rose, une rose gigantesque, de plusieurs mètres de haut et de large, toujours fermée, aussi écarlate qu'un rubis.
Erika avait oublié sa sœur depuis son entrée même dans le jardin et ne quittait plus des yeux la grosse rose. Et elle s'avança vers elle sans s'en rendre compte. Et la rose s'ouvrit doucement, tout doucement...et, Elle en sortit.

Elle était assise à l'intérieur, une grande femme à la peau verte parsemée de plusieurs petites feuilles, une beauté tellement envoûtante, des cheveux de la même couleur que la rose et des yeux aussi brillants que de l'or. Elle ne cachait pas vraiment sa nudité apparente et semblait posséder, à la place d'oreilles humaines, deux petites oreilles pointues et argentées, ressemblant à des oreilles de renard. Ce n'était pas la seule particularité étrange qu'elle possédait, en effet, elle avait également neufs queues d'argent et en panache semblables à celle d'un renard. Et elle gardait un petit air mystérieux et mystique à l'image de cet animal des forêts...
Erika s'approcha encore.
« ….Qui êtes vous... ? »
Et elle lui dit alors son nom, il résonna à ses oreilles comme un carillon. Chrysalide.

Erika remarqua vite que la grande dame ne lui voulait aucun mal et elle resta longtemps avec elle, lui parlant de son amour immodéré pour les plantes et les fleurs, ce qui sembla beaucoup intéresser la femme-renarde. Cette dernière raconta à Erika que ce temple abandonné était sa maison, et qu'elle habitait ici car on l'avait chassé de la forêt, son ancienne demeure. Elle raconta qu'elle avait été chassé par un Tanuki, étrange créature dont la demoiselle n'avait jamais entendu parlé, mais elle trouvait méchant de chasser une jolie dame de la sorte, surtout si elle avait un beau jardin comme celui là !
Erika lui raconta son histoire, ce qu'elle vivait chaque jours chez elle, et lui révéla la peine qu'elle ressentait, la jeune fille présentant qu'elle pouvait tout avouer à cette étrange nouvelle connaissance...
La voix de Chrysalide raisonna de nouveau.
« Ma pauvre enfant...Moi je suis enfermée ici de la même manière que toi tu es enfermée par ta sœur...tu as bravé l'interdit pour la tenter de la retrouver, tu es vraiment quelqu'un de courageux... ! Je ne peux sortir de peur que le Tanuki me retrouve, alors je reste dans mon jardin, là où il ne viendra jamais me chercher ! Dis moi...cela fait longtemps que je n'ai pas eu si agréable compagnie en ces lieux...j'aimerais bien que tu reviennes me voir, si cela ne te fait rien bien entendu... ! »
Erika fut tellement ravie et enjouée, elle avait enfin trouvé une belle amie avec qui elle pouvait discuter, s'amuser et surtout partager son amour des plantes...
Elle revint a la maison plus tard, se rendant compte qu'il était tard et que la nuit s'apprêtait à tomber et avait complètement oublié Vanessa.

Les jours et les mois qui suivirent furent les plus joyeux qu'Erika vécut. Elle partait tout les jours en cachette vers le temple de Chrysalide et passait de grands moments avec la belle femme.
Chrysalide lui montrait à chaque fois de nouvelles fleurs et de nouvelles plantes, s'amusant avec la petite fille comme une vraie grande sœur, ce qui faisait oublié à la jeune fille qu'elle en possédait déjà une...
Parfois, elle reparlait du Tanuki, et chaque fois qu'elle en parlait, Erika ne pouvait s'empêcher de penser que cet être ne pouvait pas être quelqu'un de bon ! Quelqu'un qui empêche la reine des plantes de faire vivre ses sujets ne peux pas être quelqu'un de bon pour la petite demoiselle...
La relation entre les deux femmes devint de plus en plus fusionnelle si bien qu'un jour Chrysalide lui avoua qu'elle n'était pas une mortelle comme les autres, mais qu'elle était qu'une Yokai, un être surnaturelle et hors du commun capable de manipuler la Magie...
« Ma douce Erika...Tu as été ma seule et unique amie durant tout ce temps. Tout ces mois passés toutes les deux ont été pour moi quelque chose de vraiment merveilleux ! J'aimerais vraiment pouvoir rester avec toi mon enfant... ! »
Erika fut tout de suite intéressée.
« Je resterai avec toi pour toujours mais uniquement si tu l'acceptes. Après cela, mes pouvoirs seront à ton service, et nous pourrons nous amuser ensembles pour toujours. Et surtout, ensembles, pouvoir faire de ce monde un monde meilleur....pour les plantes...Le veux-tu ? »
Erika acquiesça sans hésitation, elle était prête à tout pour les plantes, et surtout pour garder son unique amie pour toujours avec elle.
« Merveilleux ma chérie....Alors ainsi soit-il. ! »

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