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Description

/!\ Si vous êtes sensibles au sujet du cannibalisme ou de pédophilie vous pouvez passer l’histoire. /!\

Informations générales

Nom : Luo
Prénom : Ling
Pokémon : Métalosse
Taille : 1m70
Âge : 34 ans
Signe astrologique –
Anniversaire –
Seiyuu – Rikiya (Kiritsugu [Fate/Zero])
Situation - En couple avec Ray, contre son gré.

Particularités physiques

Porte toujours des lunettes jaunes.

Ses yeux rouges le font toujours confondre avec Satan.

Emmène et porte des prothèses crées par les scientifiques de l’ancien Complexe scientifique Valentyne, anciennement situé à Unis. Ces bras qui pèsent plus de 500 kilos servent essentiellement à faire peur aux individus qui s’approchent de trop près de son boss.

Il fait plus jeune que son âge. Sans doute l’une des particularités des pokémons aciers.

Il a un accent chinois à couper au couteau que s’en est presque raciste.

Combat

Niveau – Maintenant 50
Type & faiblesse – Acier/Psy – Sol/Feu/Spectre/Ténèbres

Capacité – Corps Sain | Un Pokémon doté de cette capacité spéciale sera immunisé aux réductions de statistiques imposées par son adversaire (que ce soit par des attaques ou capacité spéciale).
Il restera sensible aux diminutions qu'il peut s'imposer lui-même par des attaques comme Surchauffe.
Poing Météor | Psykoud’Boul | Poing-Glace | Seisme

Personnalité

Ling n’est pas un homme très bavard. Il préfère écouter que parler.

Son QI ne dépasse pas celle d’une huitre. Le métalosse est plus con que ses pieds mais s’habille de sorte qu’on le confonde avec un scientifique.
Ne jamais se fier aux apparences, il est vraiment stupide.

La routine du chinois est très importante. Si rien que, ne serait-ce une chose, le perturbe dans ses habitudes, il aura du mal à l’assimiler. Et personne ne pourrait rien y changer (sauf son copain actuel).
Un vieux tic le hante : il ne peut pas s’empêcher de remonter ses lunettes quand quelque chose le dérange.

C’est un grand collectionneur. Il emmène tous les jours avec lui un album photo constitué essentiellement de photos (retouchées) de Joshua et lui-même. Une vie fictive en somme.

L’un de ses mets préférés : la viande. Mais pas n’importe quel genre de viande. Bien rouge et saignante. Son gibier préféré : « l’autruche ».

Plus que tout au monde il adore les enfants, surtout ceux qui sont âgés de 10 à 14 ans. Il en voue presque un culte malsain. La plupart du temps il prend des photos de ses « amourettes » en les espionnant à outrance.
Quelque fois il se peut qu’il entretienne des relations plus intimes avec les pré-adolescents. En général tout se termine très mal.
Pas pour Ling, pour l’enfant.

Profession

Chinois à tout faire dans le Complexe scientifique Valentyne.

Dans cet endroit, toutes les avancées technologiques et biologiques y sont créées. Robotique, médicaments, informatique, tout y passe.

Histoire

Ling n’était pas un métalosse comme les autres car en lui, se terrait un terrible secret.

Le commencement

Ling, tout juste sorti du lycée, ne put continuer ses études en raison d’un manque de moyen financier. Tous travails le complaisaient, tant qu’il y avait un salaire à la clé. Premier rendez-vous, un métamorph du nom de Mr. Valentyne, accepta de l’enrôler en tant que baby-sitter. Peu payé, mais nécessaire à la survie, le jeune adulte accepta le boulot. Les présentations furent courtes entre les deux gamins. L’un se nommait Ray, et le plus jeune Joshua. Tous deux âgés respectivement de 11 et 4 ans.
Le métalosse lorgna sur le plus âgé des deux. Sa peau onctueuse lui donnait qu’une seule envie, le caresser. Quel dommage qu’il n’ait pas le droit de le toucher. Le chinois n’était pas dupe la société, bien qu’imparfaite, n’acceptait et n’acceptera jamais les gens comme lui. Et ceci le rendit triste.

Au début, on pouvait dire que Ling était un baby-sitter exemplaire. Il s’occupait très bien des enfants : il s’amusait avec eux, les cherchaient à l’école, faisait leurs devoirs, prenait des bains ensembles, les prenait en photo et ainsi de suite...
Mais de fil en aiguille, sa libido augmenta expotiennellement et Ling n’en put plus. Il commença à tripoter Ray, seulement une année plus tard.
Toucher le petit fut bien plus excitant que de se masturber devant des photos compromettantes. Se cantonner à s’amuser avec le gamin sans le mordre fut difficile. Il n’avait qu’une envie : détacher la chair de l’os. Mais cette restriction le stimulait bien plus. Et le petit monorpale, malgré ses grands airs de brute, pouvait être très mignon. Il adorait particulièrement sa bouille quand il était énervé et outré.

Délicieuses médiocrité

Mais les gestes d’affection envers Ray ne lui suffisaient plus. Il lui en fallait plus. Malgré tout, jamais il osera toucher les enfants Valentyne. Après de mures réflexions, Ling se mit en œuvre. Il vadrouilla dans les rues de la cité pour capturer un enfant et de se « repaitre ».
Et ce fut ainsi qu’il fit la charmante connaissance d’un jeune gamin, orphelin. Le corps du gamin était frêle et fragile mais tout convenait pour le métalosse. Ling proposa un repas chez lui. Sans parents et mendiant, le garçonnet accepta immédiatement.
Ce fut le premier repas festif du chinois. Et pas le dernier. Après ce meurtre, d’autres suivirent. Et les abus sexuels qu’il faisait subir à l’ainé des Valentyne ne s’arrêtèrent pas.

Au fil des années, le monorpale grandissait. Et plus son apparence changeait, de moins en moins Ling le trouvait attirant. De joli petit minois à beau gosse, il y avait une sacrée différence. Le monorpale, le jour de ses 15 ans, avait évolué en exagide. Le regard de Ling se posa donc automatiquement sur le petit frère, Joshua.

Mauvaise idée, car pour l’Exagide, ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ling se prit la raclée du siècle. Il perçu tellement de coups qu’il en faillit devenir déformé.

Première relation

Sa fuite perpétuelle ne lui donna pas l’occasion de faire de nouvelles victimes, trop occupé de déménager à cause des menaces de Ray à son égard. Et pas des menaces de merde, le chinois avait vraiment peur de clamser.
Après des mois de poursuite, les heurts incessants de Ray eurent raison de lui. Ling ne put se résoudre que d’accepter son offre : sortir avec le fraichement évolué Exagide. Il n’aurait jamais dû regarder Joshua d’une façon aussi sale, et pas devant son grand-frère. Ce fut sa première erreur.

« Est-ce que tu te rends compte Ray ? Je t’ai gâché ton enfance. » Dit-il d’une voix doucereuse.
« Justement Ling. Il lui chuchota à l’oreille. Je te rends la pareille. »

De violeur, il en devint victime. Et Ray semblait pour la première fois, satisfait de son sort.
Ling se rendit compte alors, qu’il prenait autant de plaisir à bouffer des cadavres, que de se faire découper la chair.
Après cette scène grotesque, Ling emménagea dans le foyer de Ray. Forcé de contempler tous les jours un bijou inaccessible : Joshua.
Malgré son emménagement, le métalosse continua sa chasse, et de ce fait, utilisa le domicile de Ray pour cacher ses vices.

La chute

Son cerveau étriqué et ses petites habitudes eurent raison de lui. Effectivement, cacher les corps dans le réfrigérateur de Ray ne fut pas une bonne idée. Il n’arrivait pas à terminer les corps avant qu’ils moisissent. Il n’en restait plus qu’un, mais dans un tel stade de décomposition qu’il serait suicidaire d’en bouffer un morceau. Il ouvrit tout de même le frigidaire pour en faire sortir le met.
Putréfié, coulait des organes putrides un liquide visqueux d’une odeur infecte, parfumant la cuisine du complexe. Cela n’empêcha pas au chinois de se vautrer sur le corps inerte, se délectant de la chair, des abats et du sang. Arracher, déguster, boire, bander. Même, le parfum du cadavre le faisait couiner de plaisir.
Mais son bonheur ne dura pas. Arriva alors son ravisseur, Ray Valentyne. Petit-ami actuel et saligaud de première, lâchant un cigare à peine entré dans la pièce. Surpris et en même temps horrifié. Mais pas apeuré par la scène qui se tenait devant lui. Ray n’était pas quelqu’un de très sensible. Il semblait surtout concerné par l’article de journal qu’il tenait entre les mains.

« Tu te rends comptes de ce que t’as fait le chinois ?
-Hein ? Quoi ? Ce n’est pas ce que tu crois Ray. Ling s’essuya la bouche avec la manche de sa veste et fixa le plafond avant de lui répondre. Je suis en train de manger du poulet. » Blanc de quelques secondes.
« Tu… t’es d’une stupidité sans nom. Ray pausa. T’as caché les cadavres chez moi et avoué à l’une de tes victimes que tu la boufferas dans les prochains jours qui suivent.
-Heh. Oui. Et alors ?
-… T’es… nous sommes sur la une des journaux et… PUTAIN DE MERDE. »

Ray donna un grand coup sur le frigidaire qui tomba en avant et fit un vacarme monstrueux. Quelques morceaux de cervelles écrasées au sol, valsèrent. Ce dernier grimaça. Il s’approcha du criminel et le prit par le col :

« En ce moment même nous sommes tous les deux recherchés. Donc maintenant t’arrête de faire joujou avec cette merde et nous partons.
-Tout de suite ?
-Tout de suite.»

Ling, étonné, ne savait pas ce qui se passait dans la tête de Ray. Accepter de tomber en disgrâce pour sauver sa peau. La première chose que l’exagide aurait dû faire était de recruter un bon avocat pour affirmer son innocence. Après tout, Ray, malgré quelques petites affaires louches, n’avait rien fait de mal.
Les autorités avaient retrouvés chez l’ancien domicile du chinois de nombreux documents pédopornographique, un porteclé constitué de mèches de cheveux de ses victimes et dans le frigo, un morceau de chair pourri d’un enfant de type eau.
Il hurla quand même de rire en entendant la nouvelle. Tous deux respectivement condamnés. Ray à perpétuité. Lui à mort.
Depuis le début de sa chasse, Ling avait assassiné sept personnes, dont six étaient des enfants. Et rien qu’en y repensant, il ne pouvait pas s’empêcher de bander.

L’arrivée à Zanuelle

La fuite en bagnole dura des plombes. Assez pour que Ling ait pu dormir la totalité d’une journée entière dans la voiture. Ray semblait être de très méchante humeur. Mais qui ne le serait pas ? Après tout, à cause de lui, l’Exagide avait perdu la totalité de son prestige, construit par la seule sueur de son front. Parti en fumée, en une seule journée. Par SA faute.
Mais Ling ne se sentit en aucun cas coupable. Car Ray devait le savoir, s’il avait consentit de sortir avec pédophile, il devait aussi avoir accepté son côté écœurant.

Le voyage interminable prit fin à l’orée d’un village paumé. Ils se dirigèrent vers l’hôtel, la discussion ne se fit pas attendre.

« Tu le savais Ray. Que tout ceci arriverait. Ce n’est pas de ma faute. » Ray ne répondit pas, mâchoire crispée, prêt à lui casser la gueule. Ling recula bien en arrière jusqu’à embrasser le mur. En voyant la gueule effrayée du chinois, Ray se détendit.

« Ouais Ling. Ce n’est pas de ta faute. » Ling pencha la tête, fuyant son regard.

« J’aurais dû prévoir. Après tout, il ne vaut mieux pas te laisser seul. » Et Ray murmura.

« Tu ne me quitteras plus jamais. » Ling se tût. N’était-ce pas la plus belle déclaration d’amour qu’il ait pu recevoir ? Il resta tout de même dubitatif. Car sorti de la bouche de Ray, le métalosse était pratiquement sûr d’une chose : l’exagide ne lui laissait même pas une chance de sortie, il l’emprisonnait à jamais.

Ah quel dommage. Maintenant, il n’avait même plus le droit de toucher les enfants, ou d’en faire un ragoût. Plus de liberté. Plus rien. Ray lui avait tout volé. Mais concrètement, cela ne le gênait pas. Car toutes les malices qu’il aurait pu commettre, ne servait qu’un seul but : assouvir ses pulsions sexuelles.

Et si Ray pouvait le contenir…

Informations supplémentaires

Il est toujours accompagné de Ray. Impossible de s’en détacher, ils sont liés par une promesse.

Aime

-Joshua
-Les enfants
-Manger
-Mordre Ray et se faire bouffer en retour

N’aime pas

-Les gens violents
-Se faire frapper
-Qu’on le dérange dans sa petite routine

Description

/!\ Si vous êtes sensibles au sujet du cannibalisme ou de pédophilie vous pouvez passer l’histoire. /!\

Informations générales

Nom : Luo
Prénom : Ling
Pokémon : Métalosse
Taille : 1m70
Âge : 34 ans
Signe astrologique –
Anniversaire –
Seiyuu – Rikiya (Kiritsugu [Fate/Zero])
Situation - En couple avec Ray, contre son gré.

Particularités physiques

Porte toujours des lunettes jaunes.

Ses yeux rouges le font toujours confondre avec Satan.

Emmène et porte des prothèses crées par les scientifiques de l’ancien Complexe scientifique Valentyne, anciennement situé à Unis. Ces bras qui pèsent plus de 500 kilos servent essentiellement à faire peur aux individus qui s’approchent de trop près de son boss.

Il fait plus jeune que son âge. Sans doute l’une des particularités des pokémons aciers.

Il a un accent chinois à couper au couteau que s’en est presque raciste.

Combat

Niveau – Maintenant 50
Type & faiblesse – Acier/Psy – Sol/Feu/Spectre/Ténèbres

Capacité – Corps Sain | Un Pokémon doté de cette capacité spéciale sera immunisé aux réductions de statistiques imposées par son adversaire (que ce soit par des attaques ou capacité spéciale).
Il restera sensible aux diminutions qu'il peut s'imposer lui-même par des attaques comme Surchauffe.
Poing Météor | Psykoud’Boul | Poing-Glace | Seisme

Personnalité

Ling n’est pas un homme très bavard. Il préfère écouter que parler.

Son QI ne dépasse pas celle d’une huitre. Le métalosse est plus con que ses pieds mais s’habille de sorte qu’on le confonde avec un scientifique.
Ne jamais se fier aux apparences, il est vraiment stupide.

La routine du chinois est très importante. Si rien que, ne serait-ce une chose, le perturbe dans ses habitudes, il aura du mal à l’assimiler. Et personne ne pourrait rien y changer (sauf son copain actuel).
Un vieux tic le hante : il ne peut pas s’empêcher de remonter ses lunettes quand quelque chose le dérange.

C’est un grand collectionneur. Il emmène tous les jours avec lui un album photo constitué essentiellement de photos (retouchées) de Joshua et lui-même. Une vie fictive en somme.

L’un de ses mets préférés : la viande. Mais pas n’importe quel genre de viande. Bien rouge et saignante. Son gibier préféré : « l’autruche ».

Plus que tout au monde il adore les enfants, surtout ceux qui sont âgés de 10 à 14 ans. Il en voue presque un culte malsain. La plupart du temps il prend des photos de ses « amourettes » en les espionnant à outrance.
Quelque fois il se peut qu’il entretienne des relations plus intimes avec les pré-adolescents. En général tout se termine très mal.
Pas pour Ling, pour l’enfant.

Profession

Chinois à tout faire dans le Complexe scientifique Valentyne.

Dans cet endroit, toutes les avancées technologiques et biologiques y sont créées. Robotique, médicaments, informatique, tout y passe.

Histoire

Ling n’était pas un métalosse comme les autres car en lui, se terrait un terrible secret.

Le commencement

Ling, tout juste sorti du lycée, ne put continuer ses études en raison d’un manque de moyen financier. Tous travails le complaisaient, tant qu’il y avait un salaire à la clé. Premier rendez-vous, un métamorph du nom de Mr. Valentyne, accepta de l’enrôler en tant que baby-sitter. Peu payé, mais nécessaire à la survie, le jeune adulte accepta le boulot. Les présentations furent courtes entre les deux gamins. L’un se nommait Ray, et le plus jeune Joshua. Tous deux âgés respectivement de 11 et 4 ans.
Le métalosse lorgna sur le plus âgé des deux. Sa peau onctueuse lui donnait qu’une seule envie, le caresser. Quel dommage qu’il n’ait pas le droit de le toucher. Le chinois n’était pas dupe la société, bien qu’imparfaite, n’acceptait et n’acceptera jamais les gens comme lui. Et ceci le rendit triste.

Au début, on pouvait dire que Ling était un baby-sitter exemplaire. Il s’occupait très bien des enfants : il s’amusait avec eux, les cherchaient à l’école, faisait leurs devoirs, prenait des bains ensembles, les prenait en photo et ainsi de suite...
Mais de fil en aiguille, sa libido augmenta expotiennellement et Ling n’en put plus. Il commença à tripoter Ray, seulement une année plus tard.
Toucher le petit fut bien plus excitant que de se masturber devant des photos compromettantes. Se cantonner à s’amuser avec le gamin sans le mordre fut difficile. Il n’avait qu’une envie : détacher la chair de l’os. Mais cette restriction le stimulait bien plus. Et le petit monorpale, malgré ses grands airs de brute, pouvait être très mignon. Il adorait particulièrement sa bouille quand il était énervé et outré.

Délicieuses médiocrité

Mais les gestes d’affection envers Ray ne lui suffisaient plus. Il lui en fallait plus. Malgré tout, jamais il osera toucher les enfants Valentyne. Après de mures réflexions, Ling se mit en œuvre. Il vadrouilla dans les rues de la cité pour capturer un enfant et de se « repaitre ».
Et ce fut ainsi qu’il fit la charmante connaissance d’un jeune gamin, orphelin. Le corps du gamin était frêle et fragile mais tout convenait pour le métalosse. Ling proposa un repas chez lui. Sans parents et mendiant, le garçonnet accepta immédiatement.
Ce fut le premier repas festif du chinois. Et pas le dernier. Après ce meurtre, d’autres suivirent. Et les abus sexuels qu’il faisait subir à l’ainé des Valentyne ne s’arrêtèrent pas.

Au fil des années, le monorpale grandissait. Et plus son apparence changeait, de moins en moins Ling le trouvait attirant. De joli petit minois à beau gosse, il y avait une sacrée différence. Le monorpale, le jour de ses 15 ans, avait évolué en exagide. Le regard de Ling se posa donc automatiquement sur le petit frère, Joshua.

Mauvaise idée, car pour l’Exagide, ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Ling se prit la raclée du siècle. Il perçu tellement de coups qu’il en faillit devenir déformé.

Première relation

Sa fuite perpétuelle ne lui donna pas l’occasion de faire de nouvelles victimes, trop occupé de déménager à cause des menaces de Ray à son égard. Et pas des menaces de merde, le chinois avait vraiment peur de clamser.
Après des mois de poursuite, les heurts incessants de Ray eurent raison de lui. Ling ne put se résoudre que d’accepter son offre : sortir avec le fraichement évolué Exagide. Il n’aurait jamais dû regarder Joshua d’une façon aussi sale, et pas devant son grand-frère. Ce fut sa première erreur.

« Est-ce que tu te rends compte Ray ? Je t’ai gâché ton enfance. » Dit-il d’une voix doucereuse.
« Justement Ling. Il lui chuchota à l’oreille. Je te rends la pareille. »

De violeur, il en devint victime. Et Ray semblait pour la première fois, satisfait de son sort.
Ling se rendit compte alors, qu’il prenait autant de plaisir à bouffer des cadavres, que de se faire découper la chair.
Après cette scène grotesque, Ling emménagea dans le foyer de Ray. Forcé de contempler tous les jours un bijou inaccessible : Joshua.
Malgré son emménagement, le métalosse continua sa chasse, et de ce fait, utilisa le domicile de Ray pour cacher ses vices.

La chute

Son cerveau étriqué et ses petites habitudes eurent raison de lui. Effectivement, cacher les corps dans le réfrigérateur de Ray ne fut pas une bonne idée. Il n’arrivait pas à terminer les corps avant qu’ils moisissent. Il n’en restait plus qu’un, mais dans un tel stade de décomposition qu’il serait suicidaire d’en bouffer un morceau. Il ouvrit tout de même le frigidaire pour en faire sortir le met.
Putréfié, coulait des organes putrides un liquide visqueux d’une odeur infecte, parfumant la cuisine du complexe. Cela n’empêcha pas au chinois de se vautrer sur le corps inerte, se délectant de la chair, des abats et du sang. Arracher, déguster, boire, bander. Même, le parfum du cadavre le faisait couiner de plaisir.
Mais son bonheur ne dura pas. Arriva alors son ravisseur, Ray Valentyne. Petit-ami actuel et saligaud de première, lâchant un cigare à peine entré dans la pièce. Surpris et en même temps horrifié. Mais pas apeuré par la scène qui se tenait devant lui. Ray n’était pas quelqu’un de très sensible. Il semblait surtout concerné par l’article de journal qu’il tenait entre les mains.

« Tu te rends comptes de ce que t’as fait le chinois ?
-Hein ? Quoi ? Ce n’est pas ce que tu crois Ray. Ling s’essuya la bouche avec la manche de sa veste et fixa le plafond avant de lui répondre. Je suis en train de manger du poulet. » Blanc de quelques secondes.
« Tu… t’es d’une stupidité sans nom. Ray pausa. T’as caché les cadavres chez moi et avoué à l’une de tes victimes que tu la boufferas dans les prochains jours qui suivent.
-Heh. Oui. Et alors ?
-… T’es… nous sommes sur la une des journaux et… PUTAIN DE MERDE. »

Ray donna un grand coup sur le frigidaire qui tomba en avant et fit un vacarme monstrueux. Quelques morceaux de cervelles écrasées au sol, valsèrent. Ce dernier grimaça. Il s’approcha du criminel et le prit par le col :

« En ce moment même nous sommes tous les deux recherchés. Donc maintenant t’arrête de faire joujou avec cette merde et nous partons.
-Tout de suite ?
-Tout de suite.»

Ling, étonné, ne savait pas ce qui se passait dans la tête de Ray. Accepter de tomber en disgrâce pour sauver sa peau. La première chose que l’exagide aurait dû faire était de recruter un bon avocat pour affirmer son innocence. Après tout, Ray, malgré quelques petites affaires louches, n’avait rien fait de mal.
Les autorités avaient retrouvés chez l’ancien domicile du chinois de nombreux documents pédopornographique, un porteclé constitué de mèches de cheveux de ses victimes et dans le frigo, un morceau de chair pourri d’un enfant de type eau.
Il hurla quand même de rire en entendant la nouvelle. Tous deux respectivement condamnés. Ray à perpétuité. Lui à mort.
Depuis le début de sa chasse, Ling avait assassiné sept personnes, dont six étaient des enfants. Et rien qu’en y repensant, il ne pouvait pas s’empêcher de bander.

L’arrivée à Zanuelle

La fuite en bagnole dura des plombes. Assez pour que Ling ait pu dormir la totalité d’une journée entière dans la voiture. Ray semblait être de très méchante humeur. Mais qui ne le serait pas ? Après tout, à cause de lui, l’Exagide avait perdu la totalité de son prestige, construit par la seule sueur de son front. Parti en fumée, en une seule journée. Par SA faute.
Mais Ling ne se sentit en aucun cas coupable. Car Ray devait le savoir, s’il avait consentit de sortir avec pédophile, il devait aussi avoir accepté son côté écœurant.

Le voyage interminable prit fin à l’orée d’un village paumé. Ils se dirigèrent vers l’hôtel, la discussion ne se fit pas attendre.

« Tu le savais Ray. Que tout ceci arriverait. Ce n’est pas de ma faute. » Ray ne répondit pas, mâchoire crispée, prêt à lui casser la gueule. Ling recula bien en arrière jusqu’à embrasser le mur. En voyant la gueule effrayée du chinois, Ray se détendit.

« Ouais Ling. Ce n’est pas de ta faute. » Ling pencha la tête, fuyant son regard.

« J’aurais dû prévoir. Après tout, il ne vaut mieux pas te laisser seul. » Et Ray murmura.

« Tu ne me quitteras plus jamais. » Ling se tût. N’était-ce pas la plus belle déclaration d’amour qu’il ait pu recevoir ? Il resta tout de même dubitatif. Car sorti de la bouche de Ray, le métalosse était pratiquement sûr d’une chose : l’exagide ne lui laissait même pas une chance de sortie, il l’emprisonnait à jamais.

Ah quel dommage. Maintenant, il n’avait même plus le droit de toucher les enfants, ou d’en faire un ragoût. Plus de liberté. Plus rien. Ray lui avait tout volé. Mais concrètement, cela ne le gênait pas. Car toutes les malices qu’il aurait pu commettre, ne servait qu’un seul but : assouvir ses pulsions sexuelles.

Et si Ray pouvait le contenir…

Informations supplémentaires

Il est toujours accompagné de Ray. Impossible de s’en détacher, ils sont liés par une promesse.

Aime

-Joshua
-Les enfants
-Manger
-Mordre Ray et se faire bouffer en retour

N’aime pas

-Les gens violents
-Se faire frapper
-Qu’on le dérange dans sa petite routine